1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°805)


    Datte: 19/10/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... mains chaudes et douces de Monsieur le Marquis. Au moment où je relevais la tête j’entendis des pas dans le couloir. Le Marquis ôta ses mains de mes épaules. - Ah Marie, je te présente Christine ! - Mouais, fit la cuisinière d’un ton bourru, pourquoi elle n’est pas à poil celle-là ? - Marie, Christine, comment dire, Christine est Switch, mais on a du travail à faire pour faire ressortir tout ça vu sa timidité et son comportement depuis ce quart d’heure qu’elle est parmi nous. Ca tombe bien on a trois jours ! - Un quart d’heure ? Déjà ? Murmurais-je. - Que Monsieur le Marquis me laisse cette drôlesse, je vais lui remettre les idées en place. Je ne comprends pas déjà pourquoi elle a porté tout cet attirail sur son dos alors que c’est dans son cul ou sa chatte que ça devrait être, répliqua Marie Marie marqua un temps d’arrêt, je levais les yeux et je vis les yeux bleus du Marquis se durcir à en devenir noir. Elle reprit : - Enfin, moi, je dis ça je dis rien, vous me connaissez, Monsieur le Marquis si je ne bougonne pas, ça va pas ! Conclue-t-elle en haussant les épaules et s’en retournant vers les cuisines. - Marie ? L’interpelle le Marquis. - Oui, Monsieur ? répondit-elle. - Tout est prêt dans le petit salon ? - Oui, ça fait une demi-heure ! Et elle part en rigolant d’un rire sadique. Monsieur le Marquis m’entraînait lentement dans le couloir. De part et d’autre, je voyais ces immenses fresques d’Aubusson aux scènes de chasse, lubriques, le tout entrecoupé de portraits, ...
    ... statues ou de bustes en marbres blancs. J’étais en admiration devant ces tapisseries et tout le décorum luxueux qui s’offrait à moi. Amoureuse de l’Art en général, cela ne me laissait pas indifférente et je sentis l’humidité perler de mon intimité. - Que c’est beau, murmurais-je. - Tu disais ? me répliqua le Marquis. - Je disais que je trouvais ce couloir magnifique, Monsieur et que vous avez bien de la chance de vivre au milieu de tout cet art ! » répondis-je en tournant la tête vers le Noble arborant pour la première fois un grand sourire. - Bien, je vois que tu reprends du poil de la bête, ma belle, me lança le Marquis En me remettant le bras les épaules dénudées et m’attirant à lui. De mon côté, suivant le mouvement imprimé par le Maître des lieux, je me laissais aller contre lui, recherchant un peu de chaleur dans ce grand couloir à vrai dire assez frais et qui faisait froncer la fine peau brune de mes auréoles sous le petit pull fin que je porte. Tout à coup une porte s’ouvrit. - Ah Davidou, te voilà ! dit le Marquis qui me lâcha pour aller embrasser langoureusement David. David, voici Chris notre invitée ! Tu nous permets te t’appeler par ce diminutif Christine ? - Oui, sans problème ! Bonjour David, enchantée de faire votre connaissance ! », répondais-je ! - Moi de même, enchanté Chris ! répondit David et de reprendre : Je dois sortir pour l’heure, on se revoit donc plus tard en un seul morceau, n’est-ce pas Edouard ! Edouard fit un clin d’œil à son Ami. Les deux hommes ...