La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°805)
Datte: 19/10/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... échangèrent un long baiser langoureux avant de se séparer en se lançant un regard follement amoureux … Les corps frissonnent, se frôlent, se croisent, s’éloignent… Monsieur le Marquis revient vers moi et me mène dans la pièce d’où est sorti son compagnon David du même pas lent qui fut le nôtre depuis le début… Je respecte le silence qui s’est installé. Puis il rompt le silence en me déclarant d’une voix solennelle : - Tu as ainsi pu voir les principaux acteurs de la maisonnée, Walter mon majordome, Marie la cuisinière, David mon compagnon et Moi-même. Pour le moment, dis-toi bien que tu es toujours celle que tu es mais que nous avons du travail à accomplir ce week-end pour te révéler à tous ceux que tu as croisé mais surtout à toi-même ! Là, je ressentis une onde me parcourir le corps, vague qui se termina dans mes épaules et me fit réellement frissonner. En même temps que ces frissons, je rougis et remarqua qu’une autre vague, de chaleur celle-ci, commençait à gagner mon bas-ventre. Machinalement, j’esquissais un mouvement de mettre mes mains devant mon sexe nu, dont la couleur et le gonflement étaient offerts au grand jour trahissait le maelström qui abritait cette zone sensible. Je perçus de la honte au fond de moi, sentiment différent de tous ceux que j’avais pu être la proie jusqu’ici… Monsieur le Marquis qui me tenait toujours par les épaules bloqua le mouvement de son autre bras en glissant sa main le long de mon ventre et s’arrêtant sur mes lèvres intimes et me ...
... susurra à l’oreille sur un ton bas mélodieux et gai : - Tssit ! Stop, Chris, à partir du pas de cette porte que nous venons de franchir, tu te dois d’assumer tout ce que tu vas vivre quoiqu’il t’arrive ! Ce qui me plongea à nouveau dans un état second me sentir nue mais enveloppée, avec sa main prenant possession de ma chatte réactive. Une fois cette sentence proclamée, le Marquis d’Evans m’invita à m’asseoir dans de confortables fauteuils recouverts de tapisseries richement ornées et de hautes factures. Ces fauteuils sont orientés de manière à être face au foyer de l’immense cheminée trônant dans la pièce. Une grande femme, au corps longiligne juste vêtue d’un collier de cuir noir attend debout dans un coin du salon portant un plateau. Lorsque la soumise se baisse pour poser le plateau, je remarque que son petit trou est rempli par un plug de bonne taille qui me rappelle un peu le mien. Mon regard croise le regard de Monsieur le Marquis et nous nous sourions comme complices. Le plateau posé sur une petite table basse joliment marquetée à la façon de l'artiste alsacien Spindler, la femme repart avec le même pas félin et gracieux. Monsieur le Marquis se lève afin de nous servir à boire en me proposant un Banyuls à la robe rouge presque noir et se servant un vieux whisky irlandais malté dont la robe brun rougeâtre scintille en prenant place dans le verre en cristal et faisant cliqueter les glaçons qu'il avait placés au fond du verre. Toujours sous le charme de la voix calme et ...