1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°805)


    Datte: 19/10/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... sereine du Marquis d’Evans je me sens doucement m'évader et la paix m’envahir en me laissant doucement comme hypnotiser par le balai des flammes et des crépitements de la cheminée. Monsieur le Marquis conscient de ce qui est en train de se passer marque un silence poli et se laisse à son tour gagner par la chaleur et la danse du feu. Le silence planant ne laisse entendre que le lent et régulier mouvement du balancier de la grande horloge au long manteau sobrement sculpté trônant discrètement dans un des coins de la pièce. La tête ailleurs, je sens tout à coup des mains douces et chaudes se poser sur mes épaules nues. Absorbée dans mes pensées, je n'avais pas remarqué que Monsieur le Marquis s'était approché. Sous la douce pression de ces mains que je découvre à nouveau, je sens mes épaules s'abaisser et le poids qu’il y avait encore s’effacer. Je sens un nouveau frisson parcourir tout le corps. Je ne suis plus la même personne qu'à mon entrée au Château comme sombrant dans un autre monde enivrant de délices. - Chris, pourrais-tu te détendre un peu plus et, par exemple, décroiser et écarter tes jambes ? Les mains sur mon cou se serrèrent un peu comme un lent et profond massage. Voyant que je ne bougeais toujours pas, le Marquis serra un peu plus fort et insista cette fois plus ferment sur le ton : - Chris, ouvre-moi ces jambes ! Lentement, je me sentis m’exécuter comme par magie. En même temps, je sentais le vin cuit commencer à me chauffer les joues et stimuler mes ...
    ... neurones. - Bien, relâche-toi, laisse-toi déguster comme tu dégustes ce vin chaud et doux ! me dit le Marquis. Là, il me banda mes yeux en continuant de me parler de sa voix calme : - Tu vas goûter ce que je t’ai préparé le restant de l’après-midi les yeux bandés. Prends ça comme un hors d’œuvre, une mise en bouche pour ce qui suivra. Je le sentis prendre le bas de mon pull pour me l’ôter, je levais les bras. Arrivé vers mes seins, il les emprisonna doucement puis redescendit. Il découvrait mon corps de ses mains, en prenait lentement possession tel un claveciniste effleurant chaque parcelle de mon ventre, tournant autour des zones sensibles, remontant à nouveau mes seins qu’il commençait à pétrir et jouer avec le bout des tétons et soudainement vrilla les extrémités en me murmurant à l’oreille : - Humm, tu aimes ça, vu ce long soupir et ta tête sur mon épaule… Il prit ma nuque dans l’une de ses mains et me la massa doucement avant de redescendre vers la seconde suivant les courbes de mon torse avec la pulpe de ses doigts. - V..vous avez des doigts de fée, Monsieur le Marquis, arrivais-je à articuler. Puis le Marquis me mit une main sur la bouche et me dit que je ne dois plus prononcer un seul mot et de me concentrer sur ses mains et sur le silence de la pièce. Ce que je fis, m’abandonnant progressivement au monde de sensations ainsi créé. Ce faisant, je fermais les yeux derrière le bandeau comme pour mieux les goûter. Tous mes sens étaient en éveil. J’imaginais qu’il avait dû ...