1. La tournante a bien tourné


    Datte: 19/10/2017, Catégories: ffh, Masturbation Oral pénétratio, fsodo, init,

    ... Penses-tu, nous sommes mariés et ne faisons rien de mal, au contraire, d’ordinaire tu aimes bien. Sabine, le plateau à la main avec encore la tasse d’Hervé, reste immobile, un peu décontenancée, mais curieuse. Bousculée, Véronique lui tend la tasse vide. Sabine la saisit, la remet sur le plateau. Hervé a continué ses caresses sur la poitrine de Véronique qui ne proteste plus. Au contraire elle déplace la tête d’un sein à l’autre. — Oh, c’est vraiment bon, j’aime quand tu me tètes. Oh Sabine, tu verras quand on te le fera, c’est formidable. Il te faudrait y goûter. D’ailleurs je suis sûre qu’Hervé serait prêt à te rendre ce service, n’est-ce pas mon chéri.— Oh, quand elle voudra, si tu es d’accord mon amour. Il s’est redressé en souriant. Sabine lui tend sa tasse et sort précipitamment. ---oooOooo--- Le matin, elle a un peu travaillé sur ses cours, aidé Véronique. Puis, après le repas, ils sont sortis tous trois avec le chien à la campagne, ont couru, ri, plaisanté. Pourtant Sabine a encore en tête la scène de ce matin et surtout les paroles de Véronique. Comment peut-elle proposer une telle chose à son mari ! Bien qu’au fond d’elle-même, l’idée ne lui déplaise pas de connaître ce plaisir qu’éprouvait son amie. Mais il ne faut pas rêver. Le lendemain matin, elle s’est levée, espérant et redoutant à la fois un appel de ses amis. Au passage, comme la veille, Véronique l’a interpellée. — Sabine, on prend le café.— Je vais vous le préparer.— Non, c’est mon tour. Hervé dort ...
    ... encore, viens te mettre à ma place, je te monte une tasse de café, nous le boirons ensemble. Surprise, choquée, mais au fond d’elle-même, satisfaite par cette proposition bizarre, elle accepte sans dire un mot. La place est chaude, elle se sent bien, Hervé repose endormi à côté d’elle. La porte s’est ouverte, le plateau de café apparaît. Véronique le pose sur la table de nuit, découvre les draps et dit : — Pousse-toi un peu, que je m’installe à côté de toi. Elle a appuyé ses mains sur les hanches de Sabine afin de se dégager une place. Dans le mouvement, cette dernière a touché Hervé qui s’est réveillé. — Oh, la bonne surprise ! Tu as raison de venir boire le café avec nous. Il s’est redressé, assis, prenant ses aises. Avant de s’installer, Véronique a quitté la veste de son pyjama. — Je ne vais pas risquer de le tâcher, c’est tout un travail pour nettoyer après. Tu devrais faire pareil, sinon tu vas salir la chemise de nuit. Sois tranquille, Hervé ne dira rien. Et avant qu’elle puisse réagir, sa chemise est remontée, enlevée, elle se trouve torse nu. En effet, le mari ne réagit pas, ignorant le merveilleux spectacle à côté de lui. Il prend la tasse et déguste son café. Sidérée, Sabine accepte la sienne, la boit sans un mot. Babillant sans arrêt, Véronique fait de même, puis reprend les tasses vides. Elle s’allonge, les seins toujours exposés. — Tu vois Hervé, tu ne veux pas me fâcher, mais mes seins tombent. Tu les aimes comme ça, ils sont lourds tu dis, mais de jolis petits ...
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