L'Aurore d'une autre vie (14)
Datte: 21/11/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
... bite c’est mieux ! » « Tu peux toujours y mettre les doigts ;) » « Oui j’allais le faire » Et quand elle eût envoyé le message, elle remit sa main à son entrejambe. Imaginer son index ou son majeur entrer dans son bouton de rose était un songe extrêmement excitant et avait un effet des plus fulgurants sur ma verge. Entre deux fermetures de paupières, nous regardions l’autre sur l’écran. Comme cela manquait de croisements de regards, je fixai alors ma caméra pour offrir mes yeux excités et même lubriques à Aurore. Celle-ci fit de même lorsque je regardai l’écran de nouveau, et cette masturbation fut peut-être pour nous la plus stimulante que nous ayons eue. « Ca vient » écrivis-je. « Montre » Prenant un mouchoir, toujours la main sur ma queue, je me levai à hauteur de la caméra et m’en approchai le plus possible pour bien montrer mon méat, orienté légèrement sur le côté vers le mouchoir. Le sexe bien dur, alors que je regardais ses nichons, ma cousine vit la sortie de mon sperme par à-coups sur le mouchoir. Quand les pulsions furent terminées, je versai le liquide dans ma main pour le présenter à la jeune fille qui sembla ravie de voir autant de blanc dans la paume. « Génial ! :) T’es chiche de l’avaler ? ^_^ » Sa question me prit totalement de court. Je ne dis pas n’y avoir jamais pensé, pour être honnête. J’avais même essayé, mais seulement d’infimes doses, notamment lorsque je « moussais », mais jamais encore je n’avais osé une aussi grande quantité. Ce ne sont en principe ...
... que quelques millilitres, mais ils parurent, dans cette paume, beaucoup plus importants que ce qu’ils étaient en réalité. L’idée de le mettre en bouche me rebutait en fait. « Tu n’y arrives pas ? Je comprends. En fait il faut surtout le boire tant que c’est chaud L’idéal c’est qu’il ne soit pas à l’air libre, ça le refroidit trop vite Si un jour je t’aide, tu serais prêt à essayer ?^^ » Curieusement, cette nouvelle idée me séduisit, ce serait réaliser un fantasme plus ou moins avoué chez bien des hommes, et si Aurore m’y aide, ce serait peut-être le pied ! Je tapai d’une main un « Ok » avant de remettre toute ma semence dans le mouchoir et jeter ce-dernier à la poubelle puis de me nettoyer la paume. Nous continuâmes notre conversation à voix haute et la secrète, toujours à jouer avec nos émotions les plus triviales, les plus bestiales. Mais on aimait ça. Nous essayions de trouver un moyen de nous voir pour pouvoir rattraper une partie du temps perdu, et mis à part une proposition d’Aurore pour demander à Adeline de squatter chez elle – si elle veut, bien entendu – afin de pouvoir s’envoyer en l’air, nous avions peu d’opportunités : nos parents respectifs étaient là toutes les semaines et tous les week-ends, impossible d’aller chez l’autre. Et les hôtels dans le coin étaient assez hors de nos prix, puisqu’ils sont loués pour une nuit minimum. J’eus soudain une illumination : le permis en poche depuis trois jours, j’avais des amis qui possédaient déjà une voiture et qui étaient ...