1. L'Aurore d'une autre vie (14)


    Datte: 21/11/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... heureusement, de ce que je voyais, que nous avions posé quelque chose dessus. La capote usée et sa pochette finirent au milieu de la serviette posée en boule derrière nous ; Aurore, après s’être rhabillée, réajusta correctement son fauteuil comme si rien ne s’était passé. J’avais ouvert les fenêtres pour aérer et éviter que les odeurs de nos fluides et de nos parties génitales n’embaument désagréablement le véhicule. Nous restâmes un instant ainsi, à fixer l’extérieur par le pare-brise. — Bon… dis-je après un blanc. On rentre ? — Oui… Je démarrai le moteur et rejoignis l’autoroute. Le trajet du retour était assez silencieux. Mon refus l’avait frustrée – je la comprenais – et cela avait jeté un certain froid. — Arnaud, je… — Oui ? Aurore sembla décontenancée dans sa voix. Les quelques regards brefs que je jetais vers elle confirmèrent ma pensée. — Je voulais te dire… — Oui, je t’écoute ? — Je… Elle mit bizarrement beaucoup de temps à dire ce qu’elle voulait. Trop de temps. Une peur commença à me prendre : si elle voulait mettre fin à notre relation, qu’elle avait été trop rongée par l’inceste ? xaexiiul — En fait c’est pas si grave que tu aies refusé. Tu veux être prudent, je comprends. Je t’en veux pas. Ce n’était pas ce qu’elle voulait dire initialement, mais pour éviter de la mettre peut-être dans l’embarras, je me contentai de la remercier. Sa main continuait de me caresser tendrement la cuisse durant le reste du trajet. Une fois ...
    ... arrivés, je la déposai en haut de sa rue pour éviter d’être vus. Elle ouvrit la porte, sortit, puis alla vers ma vitre que j’abaissai. — Merci Arnaud pour cette promenade. Ça m’a fait très plaisir ! dit-elle, souriante. — De rien, ça m’a fait plaisir aussi, cousinette ! — Ne m’appelle plus comme ça, s’il te plaît. Elle exigea cela d’un ton ferme, et avant que je n’aie le temps de lui demander pourquoi, elle m’embrassa avec force, et surtout une infinie douceur. Sa langue joua avec la mienne durant une bonne demi-minute, puis elle s’écarta. — Ça fait gamins. Elle tourna les talons et je la regardai s’éloigner, en profitant un instant de ses fesses superbement moulées dans son jean. Lorsqu’elle fut loin, je repris la route vers chez mon ami pour lui rendre sa voiture. Mes pensées en chemin commencèrent à m’envahir : par rapport à la proposition de le faire sans préservatifs, du fait qu’Aurore avait menti pendant le retour sur ce qu’elle voulait me dire et sur sa demande de ne plus la surnommer « cousinette » ; elle n’avait pas tort sur le fait que ça faisait gamin pour moi de le dire, et gamine pour elle de le recevoir. Mais cette manière de me le dire, une manière indéfinissable, un mélange d’agacement, de désir, de… Je refusais d’accepter l’évidence. Autant de son côté que du mien. Nous n’avions pas le courage de nous le dire, ni même d’y songer. Nous avions perdu le contrôle de notre désir initial ; ou peut-être ne l’avions-nous jamais eu. 
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