L'Aurore d'une autre vie (14)
Datte: 21/11/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
... prêts à la prêter si besoin. Je proposai alors un rendez-vous à Aurore prochainement, à une place que nous situions parfaitement. Nous nous quittâmes en nous souhaitant bonne nuit et il fut temps de nous coucher tous deux. Quelques jours plus tard, je trouvai ma belle à attendre au bord de la fontaine, presque seule ; quelques gens assis étaient là à lire ou se reposer pour profiter du soleil de ce mois de novembre. J’arrêtai la voiture préalablement empruntée à hauteur de la demoiselle qui ne me vit pas tout de suite. Je pouvais voir d’où j’étais ses écouteurs blancs dans les oreilles, j’ouvris alors la porte et me tins debout pour attirer son attention. Lorsqu’elle leva la tête pour regarder aux alentours, mon bras levé la fit venir vers moi en retirant ses oreillettes, un splendide sourire sur les lèvres. Elle m’embrassa sur les joues. — Salut ! C’est cool, un tour en voiture ! — Monte. Une fois qu’elle fit le tour et fut installée sur le fauteuil passager, portes fermées et ceintures bouclées, j’enclenchai le moteur et elle me demanda : — Tu nous emmènes où ? — On va sortir un peu de la ville. La voiture quitta sa place temporaire et, sans utiliser le GPS, je cherchai la sortie la plus proche. Nous franchîmes après quelques minutes les portes de la ville, et durant le reste du trajet, nous parlâmes un peu. — C’est vrai que tu peux conduire, c’est super ! dit Aurore en souriant. — Oui, comme on n’a pas eu beaucoup d’occasions de parler, j’ai pas eu le temps de te ...
... proposer une promenade, comme promis il y a quelques mois. — Tu m’en as pas parlé non plus ! fit-elle avec légèreté. — Pour aujourd’hui, je voulais te faire une surprise. — Ça me fait plaisir de te voir. Mais tu n’as pas répondu à ma question de toute à l’heure : on va où ? — À un endroit calme, j’ai envie de passer un peu de temps avec toi loin des yeux des gens et loin du stress d’être surpris par quelqu’un qui puisse nous reconnaître. Elle ne me donna pour toute réponse qu’une caresse sur la cuisse en me regardant. Impossible de lui rendre le regard : je devais rester concentré sur l’autoroute. Une fois que les villes laissèrent place aux paysages de campagne, je pris la première sortie et empruntai les sentiers terreux à basse vitesse, loin des passages, puis coupai le moteur et serrai le frein à main. Nous nous regardâmes, souriants, et conscients de ce qui allait se passer. Une boule dans la gorge me prit, ça faisait longtemps que nous n’avions plus eu de rapports. Je me mis à légèrement bafouiller : — Aurore… Tu as déjà… ? — Jamais dans une voiture, m’interrompit-elle avec un sourire malicieux. Ma ceinture se décliqua et alla se plaquer à côté du siège, puis je défis celle d’Aurore et allai l’embrasser en me déplaçant vers puis sur elle ; elle baissa son dossier pour que nous soyons plus à l’aise. Après lui avoir demandé d’attendre une seconde, j’attrapai une serviette-éponge que j’avais posée préalablement à l’arrière pour la mettre sous les fesses de la jeune fille ; il ...