1. L'Aurore d'une autre vie (14)


    Datte: 21/11/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... aurait s’agit de ma propre voiture, peu importait si nous en mettions partout, mais vu qu’un ami me l’avait prêtée sans savoir que j’allais avoir des ébats dedans, je ne voulais pas la lui rendre avec un siège possiblement mouillé. Nous ne perdîmes pas beaucoup de temps, chacun trop désireux de pénétrer et d’être pénétrée ; Aurore avait déjà enlevé chaussures, jean et culotte en se caressant, et mes quelques passages de doigts furent témoins de son empressement et de sa préparation. Le fauteuil était baissé au plus bas, nous étions presque totalement allongés. J’avais baissé mes vêtements inférieurs jusqu’aux genoux et, pour ne pas perdre les bonnes habitudes, sortis de mon portefeuille la pochette de secours. Mon sexe habillé et humidifié par nos salives, ma cousine écarta ses lèvres, et je regardais ma verge entrer en elle sans le moindre accroc. Nous exprimâmes d’un souffle commun notre bonheur de réunir nos corps après tant de temps distancés. La fille m’enserrait avec les genoux tandis que j’essayai tant bien que mal de m’allonger confortablement sur elle tout en pouvant aller et venir. En plus de l’abaisser, nous avions reculé le siège le plus possible ; alors je pus à peu près tendre mes jambes. Même si nous étions encore majoritairement habillés et que la poitrine d’Aurore était sagement restée sous son chemisier et son pull, l’instant était d’une sensualité et d’un érotisme peu ressentis auparavant. Chaque fois que nous l’avions fait, nous étions complètement ...
    ... nus ; à présent nous étions en pleine action encore habillés, ce qui changeait beaucoup psychologiquement. Nous faisions du bruit. Autant avec nos bouches, nos souffles, mais aussi nos sexes qui se frottaient avec un peu plus de vitesse. Ce n’était pas ce qu’il y avait de plus ragoûtant mais c’était ainsi et cela ne nous dérangeait pas tant que ça ; au moins, cela signifiait bien qu’ils étaient actifs ! Les galipettes dans cet espace clos et exigu relevaient d’une réelle acrobatie. Nous savions que le Kâma-Sûtra allait être très, très limité, et que nous n’allions probablement rester que dans cette position – somme toute assez classique. Alors que j’allais et venais en bougeant tout mon corps, je collai ma bouche dans la gorge d’Aurore en humant vigoureusement son parfum délicat, et en lui donnant quelques baisers gourmands. — Oh putain Aurore… Ça m’avait manqué… — Si tu savais… ! Prends ton temps, fais durer ! Nous joignîmes nos bouches dans un très fort baiser, toujours en mouvement. Bien que ne pouvant prendre le contrôle des opérations, ma partenaire ne restait pas passive pour autant : ses genoux me caressaient et m’enserraient les hanches et ses mollets frottaient mes cuisses. Son vagin bougeait également, elle faisait travailler ses muscles pour stimuler encore plus mon corps qui lui rendait visite. — Si tu fais trop ça, fis-je avec un rire, je pourrai pas durer longtemps ! C’est super bon ; mais c’est même trop bon. Elle m’entendit : ses pressions intérieures se firent ...
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