1. Le plaisir d'être nu devant elle


    Datte: 22/11/2020, Catégories: médical, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné, humour,

    ... étaient destinées à des études statistiques à réaliser sur le long terme. Ce n’était pas impossible. En tout cas, pour des gens peu au fait de ce type d’études, cela restait plausible. Nous nous prêtions donc de bonne grâce, à ce travail de prise de nos mensurations. Pour ce faire, elle se posait un micro cravate, prononçait notre nom, puis commençait ses investigations. Les mesures des bras se passaient tout à fait banalement. À chaque mesure prise, elle énonçait le chiffre correspondant qui était donc enregistré au travers du micro. Elle passait ensuite à la mesure du dos. Elle repérait une vertèbre dans le cou, puis descendait jusqu’au coccyx pour prendre la mesure. Et c’est là que ça devenait intéressant. Le coccyx était bien entendu caché par le slip. Et c’est sans hésiter et sans quémander l’autorisation qu’elle baissait ce dernier pour arriver au point de chute de son mètre ruban. Les conversations avec les collègues et mes trois expériences avant celle que je dois encore vous narrer, nous avaient appris que de toute façon, la moitié des fesses étaient systématiquement dénudées. Par contre, parfois, il n’y avait que l’arrière du slip qui était baissé, parfois, c’était dans sa totalité que l’étoffe descendait de quelques centimètres. J’ai moi-même connu ces deux expériences, me retrouvant les poils pubiens largement à l’air à deux reprises. Après cette mesure du dos, elle ne remontait jamais elle-même le vêtement. Je dois avouer que la première fois, je l’avais ...
    ... remonté machinalement moi-même, mais les deux fois suivantes, j’avais été attentif à le laisser tel qu’elle l’avait elle-même décidé… Elle s’asseyait ensuite sur un tabouret, prenant soin de nous guider en face d’elle en posant ses mains sur les petits culs dénudés, puis mesurait les jambes. C’était sans exception que nos sexes entraient en contact (toujours protégés par le tissu) avec la main de la doctoresse, qui ajustait longuement son ruban pour profiter au maximum du contact. Chaque jambe avait droit à son tour, ce qui laissait à chaque coucougnette et à notre zigouigoui le temps de profiter de la caresse (un peu rude, le plus souvent). Enfin, arrivait le temps du tour de taille. Elle nous installait face à elle, et donc pour ceux qui n’avaient pas remonté leur sous-vêtement, ses yeux rivés sur le buisson pubien et de toute façon sur la bosse du sexe. Nous avons tous senti que ses doigts s’insinuaient innocemment dans ces poils… C’en était terminé, il ne nous restait plus qu’à nous rhabiller et attendre la fois suivante… Mais cette fois suivante, je m’étais enfin décidé à la vivre autrement. Il n’y avait pas de raison qu’elle soit la seule à diriger notre perverse relation. Car il me plaisait ce délire, mais j’avais aussi envie d’y ajouter mes épices… J’avais donc organisé mon petit scénario. L’idée m’était venue face à un slip qui avait bien vécu, et dont l’élastique n’était plus très utile. Je m’étais d’abord dit que j’enfilerais ce caleçon lors de la prochaine visite ...
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