1. Un parfum.... d'autrefois (9)


    Datte: 19/10/2017, Catégories: fh, fplusag, jeunes, Inceste / Tabou profélève, Masturbation intermast, entreseins, Oral 69, fgode, fdanus, jeu, init,

    ... langue ou même mes seins à une fille ou à un garçon. Le week-end, je me laissais volontiers entraîner dans une cave ou un grenier par un garçon que je masturbais (ou que je suçais s’il était propre et gentil) jusqu’à ce qu’il éjacule tout son sperme. Je lui laissais aussi le choix de gicler entre mes doigts, sur mon ventre ou sur mes seins. Jusqu’au jour où je découvris le plaisir d’avaler le sperme. L’expérimentation eut lieu avec le plus timide des garçons du quartier. Les autres s’étaient depuis longtemps donné le mot, et j’avais plus de sollicitations que d’envies. Par ailleurs ils me respectaient et, lorsque je disais non, aucun n’insistait ni ne me forçait à faire quoi que ce soit. Mais celui-là m’intriguait. Il ne me regardait jamais en face et il évitait de me parler. Je réussis quand même un soir à l’entraîner dans un grenier. Ce fut moi qui pris l’initiative de l’embrasser sur la bouche. Baiser qu’il me rendit à peine. Il restait les bras le long du corps, apparemment tétanisé. Ne voyant aucune caresse venir, j’ouvris son pantalon. Et là ! Miracle ! Je découvris une bonne grosse bite toute dure. J’eus à peine le temps de la prendre dans ma bouche qu’il éjaculait. Surprise, je fis ce que je ne faisais pas jusque là, j’avalai. Et j’y trouvai un grand plaisir. Ce qui fait que par la suite, j’eus tendance à boire le sperme de mes partenaires plutôt que de le recevoir sur telle ou telle partie de mon corps. Ceci dit, je découvris aussi que le goût en était différent ...
    ... suivant les garçons, et je choisissais de boire ceux dont le goût me plaisait. La semaine j’étais pensionnaire dans un lycée privé de filles. Nous étions quelques-unes à nous rendre la nuit dans les lits des autres, et nos caresses mutuelles nous donnaient souvent des orgasmes qui nous faisaient défaillir. Ma complice la plus assidue de ces jeux se prénommait Valentine. Un jeudi après-midi nous avions déclaré, Valentine et moi, que nous étions indisposées et que nous avions mal au ventre. C’était le moyen radical pour être envoyées se reposer au dortoir, au lieu d’avoir à subir l’étude et la promenade. Nous croyant seules comme d’habitude, nous avons immédiatement commencé à nous faire du bien. Ma partenaire me fit d’abord jouir en m’astiquant le clitoris avec ses doigts. Puis elle se servit de sa langue pour me tirer une nouvelle coulée de cyprine. Pour la remercier, à mon tour, je lui léchai la chatte. Nous avions une telle maîtrise de ce genre d’exercice, et Valentine était si chaude, qu’en quelques coups de langue bien placés, elle commençait déjà à gémir de plaisir. J’insistai un peu sur son bourgeon de chair que je savais très sensible. Il était d’ailleurs relativement développé pour son âge et pointait fièrement son insolent bout du nez hors de sa fente. Ma léchouille, même rapide, fut suffisante pour la faire jouir sans retenue. Elle se tordait sous mes coups de langue, et m’inonda la bouche et le menton de sa mouille. Elle aimait rudement ça, tu sais, et je me souviens ...
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