1. Karine devient réalité ?


    Datte: 19/10/2017, Catégories: fh, jardin, intermast, Oral

    ... — Allez, je suis sûre que vous en avez envie ; racontez-moi, je fais ma curieuse aujourd’hui. C’est vrai que ça m’amuserait… — OK, je raconte. J’espère juste que vous ne serez pas choquée. Je me lance donc : — Et quel rapport avec mon prénom ? me lance-t-elle à la fin de mon récit.— Ah oui… Eh bien, l’héroïne de mon histoire s’appelle Karine ! Elle éclate alors d’un rire bruyant, sincère, communicatif, que je ne peux qu’accompagner. Malheureusement, il faut mettre un terme à cette matinée agréable. — Du coup, pas de débat sur Stephen King ? regrette-t-elle.— Mais si, mais si. Demain, même heure, même banc. OK, Karine ?— Ça me va, Bruno. —ooOoo— Le lendemain, elle m’attend sur notre banc. Nous faisons enfin connaissance. Elle est mariée depuis 15 ans. Elle aime à passer ses matinées à lire dans parc pendant que ses hommes (mari et fils) la délaissent pour faire leur sport. Sans entrer dans les détails, je lui explique la fâcherie avec ma femme. Nous comblons notre solitude du moment. — Et ce John Irving alors, ça avance ?— Bof, pas trop : j’ai du mal. Pourtant c’est bien, mais un peu lent.— Faut s’accrocher, m’encourage-t-elle.— Oui. C’est sûr. C’est pas aussi fluide queDôme !— Je l’ai fini hier soir ; vraiment chouette, ce bouquin.— Vous ne trouvez pas la fin un peu trop… rapide, facile… non ? Elle est d’accord avec moi : — Si, mais il faut bien finir : il y a plus de 1 500 pages, quand même !— …— Ah ! J’ai fait d’autres lectures aussi… Mon regard se fait interrogatif. — J’ai ...
    ... lu duDosto… Je n’ai pas pu résister : la curiosité a été la plus forte. Boum ! Gêné, j’ose lui demander : — Et alors ?— C’est exactement comme vous l’avez dit. Le premier texte est un peu brouillon. Par contre, j’ai adoré le deuxième. Drôle, bien amené et souvent plus sensuel que sexuel. À la fin, j’étais tout émoustillée. Pas peu fier d’avoir les impressions en direct d’une de mes lectrices, je la remercie de ses compliments. Mais elle n’a pas terminé : — C’est mon mari qui en a profité !— Pardon ? Je ne comprends encore rien. Karine poursuit : — Toutes ces histoires sur ce site m’ont excitée.— Extra ; racontez-moi ça, Karine… J’ai un grand sourire aux lèvres ; elle rétorque : — Non, je ne peux pas.— Mais si, allez, à la manière deRevebebe…— OK, Bruno, mais à une condition : vous dites « oui » à la demande que je vous ferai tout à l’heure.— Une promesse en blanc ? OK. Je vous écoute, Karine. Elle se met à raconter : — Wouaw, vous êtes douée pour raconter : je suis tout chose ! Mes joues empourprées renforcent mes dires. Karine baisse les yeux : — Je vois… Zut, je bande ! Mon short ne dissimule en rien mon sexe dressé. — Désolé… Elle ne me laisse pas finir : — Pas de souci, Bruno. Au contraire, je suis flattée : c’est l’effetRevebebe ! Nous rions de bon cœur. — Bon, maintenant, ma promesse. Je veux que samedi prochain on se retrouve ici et que vous me racontiez vos ébats avec votre femme. Attention : Vous devez dire « oui » ! Me voilà coincé ; je n’ai donc aucun autre choix. ...