Karine devient réalité ? - Histoires de Sexe

Karine devient réalité ?

... — OK. Mais si on ne fait pas l’amour, cette semaine ? On est un peu fâché, je vous rappelle.— Eh bien, il faudra inventer. Elle ajoute, malicieusement : — De toute façon, je ne suis pas certaine que tout soit vrai surRevebebe… Rendez-vous est donc pris. —ooOoo— Le samedi suivant, j’arrive le premier. Elle apparaît vêtue d’une jupe-cloche et d’un top. Ses longs cheveux blonds lâchés font ressortir ses magnifiques yeux bleus. Elle est très séduisante ; c’est d’ailleurs la première chose que je lui dis. La suite de notre conversation est banale jusqu’au : — Il faut tenir votre promesse, maintenant, Bruno ! Je me retourne pour être face à elle : — Ok c’est parti …" Pas le temps de commencer, elle a déjà une question : — Inventé ou réel ?— À vous de voir, Karine… Je débute mon récit : Je tiens ma revanche : mon auditrice est troublée à son tour. Et moi aussi ! Je ne sais pas si c’est son émoi ou mon récit qui en est la cause, mais une érection pointe malgré le pantalon assez large que je porte. Évidemment, elle s’en aperçoit, s’approche et affirme : — Si nous étions dansRevebebe, je ferais ça ! Elle se met alors à caresser mon sexe avec le dos de sa main. Surpris, je lui réponds sur le même ton : — C’est vrai ; et moi, je ferais ça ! Je me penche vers elle et l’embrasse goulûment. Elle me rend mon baiser tout en appuyant ses caresses. C’est très chaud ; la situation est intenable, d’autant plus que nous sommes visibles. Je continue : — DansRevebebe, nous trouverions un coin ...

... tranquille. Aussitôt dit, nous nous levons à la recherche d’un endroit discret. « Pelouse en repos ». C’est notre chance. Derrière cet écriteau, de grands buissons cachent un coin d’herbe désert. Nous y allons. Karine s’allonge sur l’herbe, je l’y rejoins. — Et vous feriez quoi ensuite, Monsieur Bruno, si nous étions dansRevebebe ?— Ça. Ma langue dans sa bouche, une main sous sa jupe, je me délecte de cette femme. Je soulève son top et découvre ses petits seins gonflés de désir. Je lape, je suce ; sa peau est douce. Je continue mon exploration. Son string enlevé, je plonge vers sa chatte. Son sexe dégage un parfum vanillé. Je taquine son intimité avant d’y enfouir mes doigts ; elle étouffe un cri. Ma bouche s’occupe de son clito tandis que mon majeur continue son œuvre, bien calé en elle. Dans un soubresaut, elle rugit de bonheur. Nous reprenons notre souffle ; je m’adosse à un arbre. Karine s’approche et murmure : — Vraiment pas mal ! Eh bien moi, maintenant, dansRevebebe, je ferais ça. Mon pantalon se retrouve très vite à mes genoux. Elle me prodigue alors une agréable pipe, câline, délicate. Excité à la vue de cette blonde qui pompe ma queue, je gémis ; je voudrais qu’elle ne s’arrête jamais. Pourtant, comme une liane, elle vient s’accrocher à moi. À califourchon, elle descend lentement pour faire disparaître mon sexe dans son corps. Ensuite, cela va très vite ; nous sommes fous, nous sommes incandescents. Nos bassins dansent vers la jouissance. Ses ongles s’enfoncent dans ma ...