1. Retour à l'improviste


    Datte: 30/11/2020, Catégories: fh, revede, facial, Oral pénétratio, fsodo, hgode, aliments,

    ... Ma queue reprend un petit peu de vigueur entre ses doigts. Rapidement lassée de son rôle passif, elle m’ordonne : — Mets-toi à quatre pattes ! C’est moi qui vais t’enculer ! Délicieusement soumis, je prends la pose : je lui tourne le dos, les bras appuyés sur le bord du lit. Elsa éprouve la longueur de la queue, sa raideur, sa chaleur. Mais au lieu de se placer derrière moi, elle se lève et vient me présenter la bite artificielle sous le nez. — Suce-moi la bite ! Elle se comporte comme un homme, et la queue de latex n’est plus un accessoire, mais une partie d’elle-même. Elle presse sur mon crâne, saisit la queue entre les doigts et me l’enfourne d’un trait dans la bouche. La vigueur et la profondeur avec laquelle elle s’enfonce ! C’est à peine si j’effectue le moindre mouvement qui me donnerait la nausée. Après quelques instants, elle retire le gode gluant de salive de ma gorge, et se met à genoux entre mes cuisses. Elle me pénètre exactement comme je l’aurais fait pour elle : la bite entre les doigts, elle guide l’engin jusqu’à l’entrée de mon cul, l’enfonce lentement sur un ou deux centimètres, puis elle place ses mains sur mes hanches et s’enfonce d’un trait, d’un coup de reins puissant et violent. Pendant qu’elle m’encule avec une sauvagerie dont je ne l’aurais jamais crue capable, je hurle, je gémis, je grogne en serrant les dents, je la supplie d’y aller doucement… mais rien n’y fait, elle me défonce à grands coups de reins, ses mains agrippées à mes hanches ...
    ... m’interdisent toute fuite. — Branle-toi ! Branle-toi pendant que je te défonce ! Je plonge le nez dans le matelas, je pousse des cris étouffés dans les draps, pendant qu’Elsa m’encule avec frénésie, je secoue nerveusement ma queue flasque… C’est y est, le dernier feu (rouge, évidemment !). Dans deux minutes je suis à l’appart. Dans deux minutes je suis dans ses bras. Elsa me libère enfin, je suis sur le point de jouir. Je me lève. Sans le moindre scrupule surtout après ce qu’elle vient de me faire endurer, je lui enfonce ma queue dans la bouche, où elle reprend un peu de raideur. Elsa me pompe avec la même fureur qu’elle a mise à me sodomiser ; je sens mon gland heurter sa gorge, ses lèvres buter sur mes couilles… Alors que je vais jouir, je me retire de sa bouche, en quelques coups de poignet je sens monter l’éjaculation. Arc-bouté, la bite tendue vers son visage, je me vide par longs jets qui s’écrasent sur le visage d’Elsa. Je tombe à genoux, en gémissant. Elsa me regarde avec un grand sourire, les joues zébrées de filets blanchâtres, des traînées de sperme coulent depuis son nez et ses lèvres et tombent en goutte à goutte sur ses seins. Je l’embrasse en goûtant le foutre amer. Je retombe sur le lit… heureux, épuisé… Le cul me brûle, mes testicules contractés me font mal. Avons nous déjà fait l’amour avec autant de violence et de fougue ? Je tourne à l’angle de la rue, je me gare. En dix secondes je suis dans l’entrée de l’immeuble. En dix de plus j’ai gravi les deux étages. J’ouvre ...
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