Une fille stakhanoviste
Datte: 30/11/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Cette fille était d'un grand classicisme. Elle ne suçait pas, elle n'aimait pas non plus se faire pourlécher la minette. Jamais non plus elle ne mettait le nez dans le polochon en présentant ses fesses pour levrette ou enculade. C'était une fille qui manquait singulièrement de fantaisie. Quand je passais ma main entre ses cuisses pour caresser son minou, elle saisissait mon poignet pour m'écarter en murmurant, mon bitmini est à vif, tu me fais mal, s'il te plaît cesse. Néanmoins elle aimait mes caresses sur ses seins et bandait instantanément, dés que ma main balayait son poitrail, de deux tétons roses dressés. Et elle ronronnait. Elle aimait aussi que l'on passe à sa taille, sur ses hanches, sur ses cuisses, et surtout sur leur intérieur. Son plaisir le plus fort était que l'on glisse une main à son cou, quatre doigts à sa nuque et le pouce en retour sur sa gorge, la paume sur son épaule au dessus des clavicules. Sa tête alors partait en arrière, yeux extasiés et doux râle de princesse enfin réveillée par prince charmant d'un enchantement envouté de mauvaises fées. Elle aimait aussi mêler ses sourires à ceux de son fiancé du jour en longs palots sensuels et interminables. Elle savait jouer des langues et des échanges salivaires pour exprimer son appétence à communion éventuelle plus profonde, plus sexuelle, manifestement ardemment souhaitée. Et moi, ce que j'aimais bien chez cette fille-là, était d'être, ce jour-là, justement le fiancé choisi. C'est toi que je préfère, ...
... fais-moi donc danser C'est toi que je préfère, la vie est courte il faut en profiter Elle habitait une piaule de résidence étudiante en lointaine banlieue presque rurale. Je logeais en ville en loft sous les toits escalier interminable et vue imprenable sur les tuiles ocres, urbaine. Elle disait, viens chez moi le weekend, ça nous fera villégiature et je viendrai dans ton atelier de peintre, verrière sous les toits, la semaine. On était comme en ménage. Sauf qu'il y manquait plein de jours, plus de moitié, où elle vaquait manifestement à d'autres activités avec probablement d'autres fiancés. Suputais-je, inquiet. J'étais à la fois jaloux et frustré mais néanmoins bien content de ces libertés qui me permettaient de vivre encore quelques longues sérénités de garçon célibataire qui lit son bouquin, écoute ses disques et vague-à-l'âme tranquillos en son chez-soi. Un peu comme une ultime période de garçon libre. Ce fut bonne époque dans ma vie. Faut dire que je n'aurais pu être l'unique amant de cette fille. Elle était partenaire amoureuse insatiable et moi je n'avais pas l'endurance requise. Il n'empêche que les nuits que j'ai passées avec elle sont à tout jamais les bornes, millages, de ma vie. Elle, dormait toujours toute nue. Nombre de filles se vêtent pour dormir, plus ou moins chastement. Le plus souvent, elles portent teeshirt-culotte, tout simplement, comme relicat de vêture du jour. Mais ce sont bien des habits affectés exclusivement à la nuit et qu'elles remisent sous ...