Une fille stakhanoviste
Datte: 30/11/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... de salive. Elle avait les muqueuses généreuses. Et moi j'aimais ça. Surtout que contre mon pubis je sentais, contrastant avec la douce chaleur de son intimité vaginale, la fraîche moiteur de sa touffe épaisse, trempée comme une éponge, pressée contre moi. Elle ne parlait pas et quand la pause avait été suffisante, elle remontait ses cuisses, crochait ses petons et repartait dans des ondulations internes sur les gammes hautes et des mouvements de bassin lents en accompagnement coordonné. Je savais qu'il me fallait être attentif si je voulais prendre la cadence et pouvoir participer. Mais quand on est jeune on est con. Et j'étais comme un apprenti rockeur qui cherche à entrer dans le rythme et veut enchaîner les passes en harmonie avec sa partenaire. Excuse-moi, partenaire. En réalité, j'étais, par principe tout excusé car la fille ne cherchait pas aboutissement orgasmique qu'elle savait fin du jeu mais plutôt insatisfaction frustrante qui ferait que le garçon y reviendrait. Tant et plus. Pour son plaisir. Et moi, j'étais ce mec-là, que la fille pressurait avec délicatesse pour le maintenir toujours sur le fil. Les nuits passaient ainsi en dizaines de ...
... sprints qui n'avaient aboutissement que pour elle et me laissaient éreinté et frustré mais prêt à recommencer. Elle était fille généreuse et savait qu'il fallait, à la fin, apaiser. Ou alors calculatrice, comprenant que sans satisfaction ultime du garçon, il n'y reviendrait pas et qu'elle aurait perdu son partenaire. Toujours est-il qu'en fin d'étape, avant de passer le portail, à l'extrême, elle poussait à fond jusqu'au bout pour donner orgasme salvateur. Moi j'étais en actions de grâce et donnais, donnais, donnais. Elle cuisses ouvertes telle parturiente en délivrance recevait à fond sans compter. Il est étonnant d'observer que tant de retenue décuple les capacités du garçon. Et aussi que celle qui en a été toute la nuit l'artisan se plaît à recevoir l'entière offrande au creux de ses intimités. Sans en rien en vouloir perdre, cuisses hautes puis pieds au mur pour bien tout garder. On en était là, elle et moi, nuit après nuit, noyés dans les sécrétions de tous ordres, vaginales de cyprine et autres mouilles et coulettes, spermatiques fluides ou visqueuses selon l'humeur du moment. Cette fille me plaisait bien et finalement j'ai décidé de la garder.