Cocu et voyeur
Datte: 01/12/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
cocus,
copains,
grossexe,
grosseins,
Oral
pénétratio,
Ce n’est qu’en fin de matinée que je m’aperçut que j’avais oublié le dossier "Mallard" à la maison. Je l’avais emporté la veille au soir pour finir de l’étudier en vue de la réunion du lendemain, et ce matin, pressé par le temps, je l’avais oublié… Je décidai de profiter de l’heure du déjeuner pour passer le prendre à la maison. Cela ne m’arrivait quasiment jamais, et j’étais à mille lieues de me douter de ce qui m’attendait! Mon déjeuner expédié "sur le pouce", je pris le chemin de la banlieue résidentielle où nous habitions. Il y avait peu de circulation à cette heure là et j’arrivai rapidement dans notre rue très calme. C’était l’été, il faisait chaud et personne ne flânait à cette heure où le soleil est si violent. Peu de voitures le long des trottoirs et je n’en aperçus que mieux la 205 rouge qui était garée devant chez nous; pas de doute, c’était celle de mon ami Paul ! Cela m’étonna bien un peu car je me demandais bien ce qu’il pouvait faire chez nous à cette heure, mais très vite je me dis que sans doute, sa femme Brigitte, devait avoir emprunté sa voiture, comme cela arrivait parfois lorsque la sienne était en réparation. Brigitte était assez amie avec Evelyne et il leur arrivait souvent de se rendre visite ou de faire du shopping ensemble. C’est donc sans me douter de quoi que ce soit que j’entrai dans la maison directement par la porte-fenêtre du salon où je m’attendais à les trouver… Mais le salon était vide. J’allais appeler pour prévenir Evelyne de ma ...
... présence lorsqu’il me sembla entendre des rires du côté de la cuisine; puis tout de suite après, une voix qui n’était certainement pas celle de Brigitte ! Le rire était celui d’Evelyne, je l’avais reconnu, mais la voix ? Intrigué et curieux, mais toujours loin de me douter de quelque chose, je me dirigeai vers la cuisine. Pour cela il me fallait emprunter le couloir et celui-ci était un peu sombre, alors que la cuisine, placée à l’autre extrémité, était, elle, très claire au contraire. C’est ce qui me permit de les apercevoir sans qu’ils ne m’aient vu… La porte de la cuisine était en effet restée grande ouverte et, à ma stupéfaction, je découvris Evelyne dans les bras de Paul !!! Ce fut comme un coup de poignard qui me frappa en pleine poitrine… J’en restai figé, comme paralysé ! Leur attitude ne pouvait guère me laisser de doute sur la nature de leurs relations, car Evelyne était non seulement dans ses bras, mais elle le tenait par le cou et promenait ses lèvres sur son visage. Qui plus est, son corsage était complètement déboutonné et Paul y avait glissé ses bras pour la serrer contre lui. Mon cœur battait à tout rompre mais je me repris un peu; suffisamment pour me diriger vers la salle à manger dont la double porte vitrée me permettrait de les voir de plus près et sans risque d’être vu, car les volets étant fermés à cause de la chaleur. La pièce était plongée dans la pénombre, constituant ainsi un poste d’observation idéal. Un bras entourant toujours la taille d’Evelyne, Paul ...