1. Cocu et voyeur


    Datte: 01/12/2020, Catégories: fh, extracon, cocus, copains, grossexe, grosseins, Oral pénétratio,

    ... joues creusées par la succion ou déformées, gonflées par la poussée du gland… Je ne peux pas vous dire ce que j’éprouvais; voir sa propre femme avec la queue d’un autre homme dans la bouche c’est déjà quelque chose, mais quand cette queue est plus longue de dix centimètres que sa mienne et d’une grosseur en rapport, il y a de quoi « flipper »!… Et je « flippais » à mort; je trouvais injuste que ce soit moi qui l’aime et que ce soit ce mec qui ne voyait en elle qu’un moyen facile de se vider les couilles qui ait à lui offrir un tel morceau ! C’est une chose qui d’ailleurs n’a jamais quitté mon esprit par la suite; à chaque fois que je me suis retrouvé nu devant ma femme, je n’ai pu m’empêcher de penser que ce type lui exhibait un tout autre engin… Après avoir sucé Paul pendant une bonne dizaine de minutes, j’entendis Evelyne lui demander : — « Tu me baises ? On va où ? Dans la chambre ? ». Je dus presque faire un bon pour m’esquiver… Ce fut de justesse… Ils devaient avoir tous deux très envie de baiser, car je venais juste de m’enfermer dans les toilettes lorsqu’ils passèrent dans le couloir, puis montèrent à l’étage… Pour moi, il était inutile que j’espère pouvoir les apercevoir. La maison que nous habitions alors était construite de telle façon que cela m’aurait été impossible sans qu’il me voient… Je dus donc me résoudre à rester au bas de l’escalier; tendant l’oreille… Il y eut dix minutes d’un quasi silence puis je commençai à percevoir des gémissements que je ...
    ... connaissais bien… Je n’avais plus aucun doute à me faire, car ces gémissements, Evelyne ne les laissait échapper que lorsqu’elle était déjà pénétrée… J’entendis ces gémissements, de plus en plus forts, de plus en plus rapprochés, et bientôt ils se changèrent en halètements… Je tendais l’oreille, le cœur battant à tout rompre car jamais je n’avais encore entendu Evelyne exprimer si bruyamment son plaisir… Et ce n’était que le début, bientôt ce furent des râles, puis des cris… Oui de vrais cris qu’elle se mit à pousser, rythmés par les ahanements de Paul… Jamais… Jamais je n’avais entendu ma femme jouir ainsi, jouir si fort… Les grincements du lit me renseignaient sur la façon dont il la baisait; il la limait lentement, régulièrement et puissamment de toute la longueur de son gros membre et puis, par moment, soudain il accélérait brusquement sa cadence… La bourrant à grands coups de pine et j’entendais alors Evelyne gueuler, hurler de plaisir. Je l’imaginais, cuisses écartées, clouée au lit par la violence des coups de bite… Je crois bien même l’avoir entendue chialer de plaisir… Mais soudain la sonnerie du téléphone retentit et par un réflexe idiot, incontrôlable, dû à ma peur d’être surpris, je bondis à l’extérieur de la maison… Quelle connerie ! Dès que je fus dehors, je m’aperçus que dans ma précipitation j’avais tiré la porte fenêtre du salon et qu’il me serait impossible de rentrer à nouveau par là… Quant à la porte principale il ne fallait pas y penser car celle-ci était équipée ...