1. Cocu et voyeur


    Datte: 01/12/2020, Catégories: fh, extracon, cocus, copains, grossexe, grosseins, Oral pénétratio,

    ... s’était mis à lui tripoter les seins; il les malaxait à pleine main. — "Ah, j’aime tes nichons…" l’entendis-je murmurer d’une voix visiblement excitée.— "Mes nichons qui tombent…" lui répondit Evelyne en souriant d’un air ironique, et cela ne m’étonna pas car je savais combien elle était complexée par ses seins pas très gros mais en gouttes et aux gros bouts pendants.— "Oui, mais il me bottent vachement!" répondit Paul: "Tu sais, tes nichons me font plus bander que ceux soit disant parfaits, d’une statue grecque! Je trouve ca vachement plus sensuel" Sur ce point je dois dire que j’étais tout à fait de son avis, et que les seins d’ Evelyne m’avaient toujours beaucoup excité. À plusieurs reprises elle m’avait raconté qu’elle avait, adolescente, des seins très fermes, qu’elle trouvait d’ailleurs trop gros, au point d’en être complexée à l’époque. Avec les années, ses seins n’avaient sans doute pas perdu en volume, mais avaient baissé de quelques crans, prenant une forme caractéristique en gouttes, dont elle n’était d’ailleurs pas moins complexée, mais qui étaient à mes yeux (et à ceux d’autres je pense !), très excitants ! Paul ne tarda pas à lui ôter complètement son corsage, en le faisant glisser sur ses épaules, puis il empoigna les deux mamelles d’Evelyne à pleines mains en les serrant entre ses doigts comme pour en faire saillir les bouts, et les porta vers ses lèvres pour les sucer avec avidité. Evelyne se laissa faire, ferma les yeux de plaisir et laissa échapper ...
    ... quelques gémissements plaintifs, puis comme Paul suçait de plus belle, elle ne put s’empêcher de murmurer : — "Ah ! Tu les aimes mes nichons !" Ce mot même m’étonna dans la bouche d’Evelyne, qui a toujours un langage très châtié, mais il est vrai que dans ces circonstances… D’ailleurs je n’étais pas au bout de mes surprises car Paul lui répondit sur le ton de la complicité : — "Tes nichons ? Tu appelles ça des nichons ! Regarde salope… Regarde ! De vrais pis de vache oui ! De vraies sacoches de vélo !" et il se mit à les faire ballotter de façon obscène. J’étais sidéré mais je compris qu’il ne s’agissait entre eux que d’un jeu complice lorsque je vis Evelyne s’exciter de plus en plus sous l’effet des moqueries de Paul.— "Ahhh ! oui c’est bon…" dit-elle dans un râle "j’aime quand tu me parles ainsi"— "Tu aimes… Tu aimes ça salope ! Tu n’as pas besoin de le dire; regarde, tu as les bouts tout raides !"— "Et toi, tu es raide?" lui répondit-elle en souriant. Décidément, j’avais peine à reconnaître ma femme, d’ordinaire si réservée avec moi. — "Regarde…" lui répondit-il simplement. Les yeux d’Evelyne brillaient; elle les plongea dans les yeux de Paul puis le fit reculer légèrement, s’agenouilla lentement devant lui et avec une évidente excitation je la vis s’attaquer à la ceinture du pantalon de Paul, puis aux boutons de sa braguette qu’elle déboutonna sans la moindre hésitation. Le pantalon tomba sans bruit aux pieds de Paul. D’où je me trouvais, placé sur le côté mais un peu en 3/4 ...