Des fourmis et des loutres
Datte: 01/12/2020,
Catégories:
fh,
ffh,
hplusag,
frousses,
cocus,
inconnu,
forêt,
Collègues / Travail
strip,
Oral
délire,
humour,
... automne : ce sont les ramasseurs de champignons, des citadins qui viennent en forêt une fois par an, qui ont peur de s’égarer et hurlent dès qu’ils ne voient plus leur véhicule. Aux cris poussés, je devine des femmes en pleine crise de nerfs. Je me dirige au son ; avec le boucan qu’elles font, difficile de les rater ! À part leurs hurlements, plus aucun bruit ; silencieux oiseaux, cigales ou grenouilles, tout le monde aux abris ! Je contourne une tache de semis de pins sylvestres et de sapins ; le spectacle que je découvre dans une petite clairière me laisse pantois : deux jeunes randonneuses gesticulent et trépignent en criant. — C’est quoi kyspasse ? Elles se figent sur place, ne m’ayant pas entendu approcher ; voilà deux jolies jeunes femmes qui me regardent, bouche bée. Une petite rousse potelée et une grande brune longiligne. J’éprouve des difficultés à trouver mes mots car la rousse est torse nu ; elle agite un bout de tissu qui ressemble vaguement à un débardeur. Deux merveilleux seins blancs aux tétons roses clair, piquetés de taches de rousseur, fermes et appétissants, s’agitent et frémissent certainement des conséquences de sa respiration haletante, de sa peur, mais surtout de ses gesticulations. La brune ne vaut guère mieux ; elle a ôté son short qu’elle secoue aussi en tous sens. Elle ne possède plus que son marcel et une culotte de coton rose, une large culotte de randonneuse, pour être à l’aise du fion, un sous-vêtement qui évite les irritations et les ...
... échauffements. Ce sont les jambes de l’une et les nénés de l’autre qui me font bégayer. Détail amusant, elles ont toutes deux gardé leurs chaussures de randonnée, chaussures à tiges hautes qui tiennent la cheville, avec les chaussettes qui grimpent au genou. Cheveux courts et bouclés pour la rouquine, longs et lisses pour la brunette, en bataille pour les deux. Deux gros sacs à dos délaissés attendent, posés au pied d’un pin. — Nous sommes en rando ; je crois que nous nous sommes égarées. Alors que nous tentions de nous repérer sur une carte, nous nous sommes fait attaquer.— Par quoi ?— Ça ! hurle la rousse en désignant une petite excroissance sur le sol.— Ce n’est qu’une petite colonie de fourmis rousses…— Elles nous ont grimpé dessuuuus ! Il y en aaaa encooore ! Elles me refont une crise ; les voilà qui baissent leurs culottes. Elles recommencent à trapizer** tout en m’apostrophant. — Vous êtes forestier, vous devez savoir quoi faire. Allons bon ! Bon, la brune est aussi à poil maintenant, elle vient de retirer son tee-shirt. Je reluque ses petits roberts qui frétillent sous mes yeux : elle semble adepte du bronzagetopless. Pour faire dans l’allusion gastronomique, si la rousse me présente deux gros melons bien fermes et juteux aux doux pédoncules roses, la brune possède des pamplemousses bien appétissants, aux tétons et aréoles foncés. Ces exhibitions provoquent des effets secondaires sur ma petite personne. — Faites quelque chose, vite ! Je regarde d’un peu plus près, et ...