1. L'instant suspendu


    Datte: 04/12/2020, Catégories: ff, Collègues / Travail taille, intermast, Oral coupfoudr, fplusag, Lesbienne

    ... de façon un peu brouillonne, mais elle m’accueille dans un gémissement. Ses lèvres enfin sur les miennes, déjà nos langues se touchent, mon sexe me brûle, ma main sur sa nuque, la sienne qui arrache mon chemisier, elle me renverse, et se met entre mes cuisses, je gémis. Je libère ses seins superbes, suce ses tétons, lèche les aréoles, mords la chair, je m’enivre du parfum de sa peau, je suis émue aux larmes. « Plus jamais ça » je m’étais dit. Rien à foutre ! Voilà ce que je réponds à ma conscience. Ses mains cherchent à ouvrir mon pantalon, ça me fait reprendre pied. D’un coup de reins, je la fais basculer sur le côté. Nous tombons sur le tapis, évitant de justesse la table basse. Elle me regarde le souffle court. Je sens toute son animalité se réveiller. Je suis à cheval sur elle, toutes les deux seins nus. Je passe ma main sur son sein, j’en pince doucement le téton. — On va dans ta chambre ? Je me relève, lui tends la main, qu’elle saisit et m’entraîne au pas de course vers son lit. Dans la chambre, je défais sa jupe, ses bas, ses chaussures, presque tout d’un seul bloc. Je l’assois sur le rebord du lit, et me mets à genoux, évitant ainsi ses mains qui s’aventurent encore sur mon pantalon. Je prends sa taille dans mes bras, je la serre, l’enserre en frottant mon visage contre son ventre délicat et chaud. Sa main joue dans mes cheveux blonds, je remonte sur son sein gauche et j’entends les battements précipités de son cœur. Elle murmure les mêmes petits noms qu’elle me ...
    ... donne, elle me caresse la nuque, les épaules, elle semble goûter ma peau du bout des doigts. Je sens qu’elle essaie de respirer moins fort, mais j’ai déjà senti son émotion. J’embrasse ses seins, son ventre musclé, jusqu’au pubis, que je frôle du bout des lèvres. Ses cuisses se serrent autour de moi et j’entends un petit « doucement » qui me serre une fois de plus le cœur. Elle est comme une vierge, légèrement effrayée. Comme je la comprends ! Alors délicatement, j’embrasse ses cuisses, vers l’intérieur, et je me dirige vers son sexe. Chacune de mes caresses la fait frémir, je le sens à la contraction de ses muscles. Du bout du nez, j’effleure sa fine toison brune, et descends, vers l’entrée de sa vulve. Feulements à mon passage sur son clitoris, ses mains se crispent dans mes cheveux, elle ouvre un peu plus les cuisses. C’est le signal que j’attendais, elle me veut vraiment à présent. Du bout de la langue, je remonte sa fente trempée, son goût est merveilleux et je sens son clitoris gonflé, prêt à libérer sa jouissance. De mes mains, je caresse ses hanches, son ventre, alors que je me mets à sucer son clitoris. Elle crie, je gémis, j’aime l’entendre dans son plaisir. Les battements de mon cœur rythment mes gestes, rapides, précis, ceux qui touchent au but, sans détours. Je prends son bourgeon entre mes lèvres et fais aller et venir ma langue dessus, elle se cambre, mon palpitant cogne dans ma poitrine, elle se raidit, frémit et éclate son orgasme, son cri cavale sur mes tympans, ...
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