1. Noël et Léon


    Datte: 07/12/2020, Catégories: fh, inconnu, Collègues / Travail amour, volupté, photofilm, humour,

    ... l’homme est un terme qui embrasse la femme. La mienne me le rappelle tous les jours.— "vade retro" est du latin, pas du parler "gay". Et pourquoi la fraction mâle des collègues n’aide-t-elle pas les amours de Noël ? Pour la raison que Noël est seul du sexe dit fort dans cette boutique-là, en plus d’un CPE vieillissant qui estime avoir autre chose à faire, par exemple avec toutes ces gamines, qui ont tant de problèmes qu’il arrive que l’infirmière à temps très partiel en pleure d’énervement. LEON Léon aime les filles. Toutes les filles ? Oui, toutes les filles, mais évidement avec des préférences. D’abord, ce qu’il préfère, c’est leur cul. Les fesses des filles, ça l’obsède. Pas très original, c’est certain, mais il faut souligner son effort constant d’enrichissement de sa collection. Il met au service de sa passion une technique éblouissante pour approcher ses proies, les charmer, les amener sans heurts dans un coin tranquille, les persuader de se dénuder ou bien de le laisser faire lui-même, et les baiser avec les meilleurs usages, appelés communément "préliminaires" et qui n’ont d’autre fonction que de faire en sorte que le mâle ne se fasse pas mal en entrant. Avec certaines, point n’est besoin de science, la seule promesse de délices exceptionnelles suffit à les amener au degré d’onctueuse humidité souhaitable ; mais elles ne sont pas aussi nombreuses que le prétend une rumeur machiste. Dans la plupart des cas, il faut murmurer à l’oreille des choses douces, ou crues ...
    ... quelquefois – et Léon excelle dans l’art de ce distinguo – tout en caressant suavement les zones érogènes du sujet – de la sujette si vous aimez mieux - après avoir assuré un environnement non compromettant, garçonnière, hôtel à carte magnétique, appartement d’une amie complaisante - voire curieuse - les exemples ne manquent pas, l’essentiel étant que le sujet d’étude – désolé, je ne peux pas dire "la sujette d’étude"- se sente absolument en confiance dans cette intimité . Léon reste persuadé que les exhibitionnistes sont rares, et pas de très bons coups puisque distraites de l’objectif par leur marotte. Pour bien me faire comprendre, je dirais que le coup de queue dans une porte cochère ne l’inspire pas et, détail capital, nuit à l’obtention de clichés de qualité. Car, pour Léon, un bon coup n’est pas seulement une drague réussie, une baise magnifique, mais aussi et surtout une ou plusieurs photos du postérieur de la dame. Pour ce faire, faisant semblant d’être agacé par un coup de téléphone importun, il s’arrange pour prendre quelques clichés de la mignonne illustrant au mieux ce que son envers peut avoir de charmant, d’intéressant, de spécial ou d’original. Imaginez la sujette, positionnée le nez dans l’oreiller, attendant une caresse ou autre surprise, elle ne voit pas que Léon qui affecte de parler, excédé, dans un de ces nouveaux téléphones, mitraille l’adorable paysage. Il la fera languir en lui faisant prendre plusieurs poses, à plat ventre, sur les genoux, et puis non, ...
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