Noël et Léon
Datte: 07/12/2020,
Catégories:
fh,
inconnu,
Collègues / Travail
amour,
volupté,
photofilm,
humour,
... finalement ça serait mieux avec les deux oreillers sous le ventre … Et la pauvrette imagine généralement qu’elle a à faire à un artiste de la baise, et que sa docilité aidera à sa félicité et à se constituer des souvenirs. Les images ainsi obtenues vont enrichir la collection de Léon ; pour pimenter la chose, au moment de se quitter, il demande et obtient facilement la permission d’un petit portrait, le visage de la sujette, tiré en 4X4, sorte de photo d’identité du cul qui va bientôt prendre place dans son album secret. NOËL Adonc, José eut bien aimé être courtisée ; entre nous elle avait tout pour qu’on la courtise, une peau fine et mate, une chevelure "aile de corbeau", un petit nez droit aux ailes délicates et frémissantes, un grain de beauté sur la pommette qui évoquait les "mouches" des élégantes du grand siècle, une taille élancée bien que moyenne, des formes avenantes et surtout une élégance naturelle dans le maintien et les gestes. Si je vous dis qu’elle n’avait jamais eu de chahut, tellement elle en imposait tout naturellement sans presque élever la voix, vous n’allez pas me croire, et pourtant il lui suffisait de s’interrompre pour que les garçons se taisent, d’abord, les filles ensuite, et qu’en moins d’une minute la classe soit attentive, à part bien sûr ceux qui étaient profondément endormis. Il est évident qu’elle aurait pu s’habiller plus sexy ; mais on peut imaginer qu’une partie de sa réussite tenait précisément à ce qu’elle faisait rêver les garçons, qui ...
... ne pouvaient se la représenter autrement qu’en belle prof, grande sœur ou maman, c’est-à-dire en femme sacralisée, plus ou moins, bien qu’à cet âge, je sais, ils sacralisent assez difficilement, à part les chanteuses bimbo et les footballeurs. Quand aux filles ? Ben, c’est simple, elles ne la voyaient pas comme une concurrente. Et même deux ou trois d’entre elles s’en faisaient un modèle, sans oser espérer plus intime encore. Il fallait donc, pour débloquer cette situation, que le hasard s’en mêlât. Ce qu’il fit : mais oui ! Un mardi soir de mars, José sort de l’école, marchant quelques mètres devant Noël ; elle porte ce jour-là, contrairement à son habitude, des chaussures à hauts talons très minces, et son talon droit se plante dans la grille d’écoulement des eaux de pluie, elle se tord la cheville et tombe. En trois bonds, Noël est auprès d’elle et lui tend une main secourable qu’elle saisit, et elle tente de se relever ; mais elle se laisse tomber à nouveau avec un cri et une grimace : — Désolée, Noël, j’ai très mal à la cheville, je suis incapable de me lever.— Pas de problème, nous allons nous y prendre autrement ; où se trouve ta voiture ? Elle indique du bras la direction ; il aperçoit la petite Clio gris perle à une cinquantaine de mètres. — Nous allons commencer par dégager ton pied de cette chaussure qui est coincée dans la grille, ensuite je vais te porter et te déposer dans ta voiture…— Mais tu ne vas pas pouvoir me porter, avec en plus nos deux serviettes…— Pffou ...