1. Noël et Léon


    Datte: 07/12/2020, Catégories: fh, inconnu, Collègues / Travail amour, volupté, photofilm, humour,

    ... c’est pas ça…— Ça oui, pour être bête…— Arrête ça tout de suite ! Et viens m’embrasser ! Alors là, imaginez-vous sa stupeur ? V’là que sa chérie virtuelle devient une réalité, un peu plus il en retrouverait sa paralysie ; mais si l’une des jambes de José est hors service, il lui reste encore au moins deux bras, qu’elle utilise pour le saisir par la nuque, l’attirer vers elle et l’embrasser passionnément. Et de lui chuchoter à l’oreille : — Tu sais, si je compte un peu pour toi, il faut me le dire.— Oui, tu comptes un peu pour moi… Et ses yeux brillent et la regardent intensément. — Il faudrait même que tu me dises si je compte beaucoup pour toi, au point, par exemple, que je puisse espérer devenir ta maîtresse…— Oui, ça peut se faire, si moi je peux espérer devenir ton amant…— Et bien, vois-tu, ce serait une bonne chose que nous devenions très intimes, tous deux. Toutes ces phrases ont été dites en murmurant, effarés l’un et l’autre d’avoir pu les dire, formidablement heureux qu’elles soient dites. — Parce que, vois-tu… hum… hum…— Oui, ma chérie, que faut-il que je voie ?— Hum, c’est très délicat, je ne sais comment te l’exprimer, mais ça va faire bientôt deux heures que ma vessie m’implore de faire quelque chose… Vous imaginez sans doute le fard qu’arbore notre Noël, la vivacité avec laquelle il se dresse, l’embarras avec lequel il interroge : — Que dois-je faire, mon cœur ? Fermer les yeux ?— Surtout pas ! Malheureux ! Il faut que tu me déshabilles et me portes jusqu’aux ...
    ... toilettes ! Laisse-moi ma culotte pour l’instant, je pense pouvoir m’en charger moi-même… Il lui a ôté sa jupe ; son collant, bousillé, lui avait déjà été retiré par les infirmières. Elle lui a demandé sa chemise de nuit, dans la penderie, sur un cintre avec son peignoir, et pendant qu’il cherchait elle a retiré son pull et son soutien-gorge, puis a attendu, les yeux fermés, qu’il la retrouve ainsi, offrant ses seins nus. Il en est resté interdit et bouche bée tellement elle était belle. La gorge nouée d’émotion, il l’a aidée à enfiler la chemise, puis l’a portée jusqu’aux toilettes dans la petite salle d’eau. Il l’a déposée sur le siège avec un luxe de précautions qui la faisait sourire sous cape, et s’est retiré en fermant la porte. Au bout de cinq minutes, il a demandé timidement "ça va, José ?" et il a entendu "Non !" Il s’est donc rapproché et lui a demandé : — Qu’est-ce qui ne va pas ?— Ouvre la porte… Il la retrouve dans l’état exact où il l’avait laissée… — Que se passe-t-il ?— Et bien, dit-elle la voix étranglée, au bord des larmes, il se passe que je ne peux pas baisser ma culotte en m’appuyant sur une seule jambe…— Ma chérie ! Pourquoi avoir attendu ! Allons, mets tes deux mains derrière mon cou… Il lui trousse sa chemise et baisse délicatement la culotte. — Je te laisse.— Pas la peine, j’ai déjà bu le calice jusqu’à la lie, ferme seulement tes yeux et tes oreilles… Bien entendu, le friselis de ce petit pipi le fait bander comme un âne du Poitou ; d’autant que la ...
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