LA TABLE EN SAPIN...
Datte: 09/12/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
J’avais accompagné Cathy jusqu’à l’hôpital suite à un accrochage de circulation. Après examen il se trouvait heureusement, qu’elle n’avait rien de grave. Mais pour plus de sécurité, le docteur avait préféré la garder en observation. J’ai attendu qu’elle soit bien installée dans la chambre pour prendre congé. Je suis arrivé chez la belle-mère, là-même où nous avions pris congé depuis une quinzaine de jours. Colette était seule. Une femme assez grande, bien en chair mais ne manquant pas de féminité. Claude son mari avait pris son service comme gardien de nuit et son fils faisaient 3/8, et il se trouvait qu'il était de nuit. La cuisine sentait la friture. Colette semblait toute guette devant son verre de porto. Elle n’avait pas attendu pour attaquer l’apéro. La table était dressée. Trois couverts y étaient installés. Elle était dans un tel état qu’elle ne s'était même pas aperçus de l’absence de sa fille. Quand je le lui appris, elle a tout de suite tourné de l’œil. J’ai mis ça sur le compte de l’alcool. Je l’ai conduit jusqu’à sa chambre où je l’ai étendu sur son lit. Comme elle me l‘avait précisé, je me suis abstenu d’avertir son époux. Me certifiant qu’après une bonne nuit tout reviendra en ordre. Je l’ai alors laissé se reposer, émettant de lui proposer de l’aider à se dévêtir. Après avoir grignoté quelques frites froides, et fais la vaisselle, je me suis intéresser à la santé de Colette. Allant lui rendre une visite dans sa chambre. Elle dormait profondément. Mais en ...
... sortant, je me suis trouvé soudain projeté dans un rêve. Celui d’être séduit par le galbe de ses pieds gainés de nylon couleur chair. Je n’ai pas m’empêché de les effleurer du bout des doigts. Ce toucher me fit l’effet d’un électrochoc, auquel ma virilité réagit instantanément en s’érigeant à toute vitesse. À regret, je me suis réfugié dans ma chambre, dont nous avions pris nos quartiers. La rue comme toujours, était calme. Fenêtres ouvertes et volets clos. J’appréciais pleinement ces rares moments de tranquillité où débarrassé des ennuis de la vie, je retrouvais un sentiment bien agréable de liberté. Je profitais vraiment de cette nuit où j’étais seul, pour écrire mes nouvelles histoires. Mais avant, j’allais récupérer dans la poche de mon blouson la dernière parution d’une revue ( je ne citerais pas le nom) à qui j’envoyais fréquemment des histoire. Je me suis posé devant le bureau. J’ai sorti mon bloc note à souvenir et me mis à rédiger l’aventure de la semaine précédente. Celle qui a eu lieu à quelques pas de cette chambre. « Nous étions rentré avec Cathy avec la ferme intention de baiser. Nous savions que nous ne serions pas dérangés. La maison était déserte. Claude partit à sa partie de boules. Le frère chez la copine et Colette, la mère courait la bite. Mais cela, personne ne le savais, hormis moi… Avec Cathy nous avions décidé de faire notre petite affaire dans la cuisine. Sur la table. Depuis le premier jour de notre rencontre, cette fille me rendait dingue. J’avais ...