1. LA TABLE EN SAPIN...


    Datte: 09/12/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... miroir pour m‘assurer que Colette était toujours là. Elle était fidèle au poste. Ses intimes parois palpitèrent autour de mon membre. Je soupirais d’aise. Elle me pompait délicatement. Comme une femelle qui avait une grande expérience de la chose. Il m’en fallait pas plus pour me tirer lentement vers l’apogée d’une grande jouissance. C’était pour moi une grande délectation de pouvoir jouir devant Colette. Je poussais, donnais des coups, appuyais, enfonçais, conférant ainsi à mon membre une envergure décuplée. Je ne m’étais jamais senti aussi gros, aussi puissant. J’ai joui comme jamais. Hurlant ma jouissance jusqu’à en déchirer mes cordes vocales. Quand j’ai ouvert les yeux, Colette avait quitté son poste… » Je levais mes yeux du bloc note, et songeais à cet instant que j’avais affaire à une race de vicieuses. Que c’était pour moi l’occasion ou jamais de connaitre toutes les formes de débauche. De réaliser tout ce que je lisais dans mes revues en ce domaine. Je me rendis alors compte que je bandais dur. Pour assouvir ma soif sexuelle, je me suis masturbé. La jouissance est venue très vite. Et par la même occasion ma libido est tombée. Il était temps pour moi d’aller de nouveau rendre une petite visite à Colette. Elle était toujours allongée dans son lit, une couette sur elle. La différence par rapport à ma première visite, c’est qu’elle c’était déshabiller. Ses fringues étaient éparpillées sur le parquet. Alors que j’allais retourner à ma piaule, mon regard se porta sur la ...
    ... boule de tissu que faisait le collant enrobant sa culotte de coton blanc. Il m’en fallait pas plus pour me pencher et m’en saisir. Bien confortablement allongé sur mon lit, j’ai cherché dans les plis de la culotte, l’endroit qui avait servi d’envelopper la vulve de Colette. Puis je le portais à mes narines. Le respirais bruyamment. Une violente émotion me saisit en découvrant les senteurs marines et musquées qui imprégnait le tissu. Tout en me soûlant de son parfum, je fixais la porte de ma chambre. M’attendant d’une minute à l’autre qu’elle s’ouvre sur Colette. Toute contente de me prendre en flagrant délit à humer son sous-vêtement. Mais les minutes passèrent et rien. Je fus même déçu de m’être trempé. Une heure du matin. Une nuit qui se fait insomnie. Et puis peu à peu, au creux de l’ambiance de cette nuit, mon cerveau se mit à délirer. Ma libido était remontée. Mon sexe n’avait pas cessé d’être dur. J’eus la chair de poule en saisissant mon membre. Je commençais à m’honorer d’un léger va-et-vient. Mais très vite, l’excitation oblige, mes pensées vagabondaient. À me pousser à faire une drôle de chose. Une idée choquante, tabou. Et plus elle se précisait, moins je pensais à dormir. Soudain, cette idée me commanda une action ! Je me levais de mon lit. Je me rajustais mon slip. Tel le feu vert à une intersection, je ne réfléchis plus, et fonçais. Je commençais alors à avancer un pas après l’autre, dans la direction de la chambre de belle maman. Comme à chacune de mes visites, ...