LA TABLE EN SAPIN...
Datte: 09/12/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... elle était plongée dans l’obscurité. Seule la lumière du couloir permettait d’y voir quelque chose. Je l’entendais respirer calmement. Elle devait être profondément assoupie. J’avançais de deux pas, le cœur battant à tout rompre. Jusqu’à maintenant, je n’étais pas tout à fait conscient des retombées de mon geste. Mais à présent, je savais. J’ai compris que je ne pourrais pas m’empêcher d‘aller jusqu‘au bout. Je regardais la forme blanche qui dormait paisiblement dans son lit. Le silence bourdonnait dans mes oreilles. Je pris conscience de ce que j’allais accomplir dorénavant. Je savais que rien ne serait plus jamais pareil après cela. Ça me faisait peur, mais aussi, et surtout me faisait bander à fond. Je dégageais la couette d’un revers de main. Qui échoua au sol. La vision de la tache sombre sur le haut des cuisses, bouscula un peu plus mes fondations. Cette fois, c’était sûr, je n’avais aucune défense contre l’épouvante qui me submergeait. Je me penchais au dessus de son sexe. Tout cela semblait se passer au ralenti. Comme dans un film, sauf que c’était bien réel. Comme je ne voyais pas très bien. J’ai allumé la lampe de chevet. Le corps de belle-maman semblait dorée et brillait. L’odeur de son entre-fesses en nage me soûlait. À ce moment, elle s’est légèrement tournée de mon côté, en décollant son bassin, comme pour mieux m’offrir son cul. Dans une touffe de poils frisée sombre, j’ai aperçu son anus charnu, strié de fronces mauves qui rayonnaient. . J’observais son anus. ...
... Ma gorge s’est nouée. Puis, Colette a poussé, comme pour chier. Au centre de son cratère gonflé, le trou de son cul béait. Au point que j’aurais pu y enfiler deux doigts joints. Mon cœur s‘emballa. Pour tâter le terrain, j’ai commencé par poser ma main retournée, aussi molle que je le pouvais. Avant de la retourner. Épousant la rondeur de son imposant postérieur. Sous mes doigts, je sentais sa peau tiède. De nouveau, une odeur intime, âcre, atteignait mes narines. Je n’ai pu résisté, d’approcher de son anus mes doigts qui tremblaient. Sa corolle dilatée avait de temps à autre un spasme nerveux. Comme le ferait la bouche d’un mollusque marin en chasse. Puis j’ai séparé du bout des doigts les bords fripés de la grosse vulve. Elle s’est cambrée. J’ai constatais que de fines traînées d’écumes blanchâtres s’étaient accumulées dans les replis des muqueuses. Quand j’ai poussé mon doigt dedans, il est entré comme dans du beurre. C’était tiède, soyeux, jamais, je n’avais éprouvé de sensation pareille. J’étais comme ivre. J’avais oublié toute notion de danger. Mais avait-il danger ? L’idée scandaleuse d’y fourrer ma verge dans ce trou accueillant m’a traversé. En tremblant d’excitation, j’ai enfoncé un autre doigt dans son cul. Les chairs de son rectum s’écartaient, comme pour m’inviter à une pénétration plus complète. Sa respiration, profonde comme celle d’une personne qui dort à poings fermés, s’est accélérée en sifflant. Son anus s’est rétracté, moulant étroitement mon index comme ...