1. Gentils Médors (1)


    Datte: 21/10/2017, Catégories: Zoophilie,

    ... fourreau, je me penche sur lui et le lui gobe. Il ne bouge pas. M’enhardissant, j’en gobe un peu plus. Je sens sa bite s’allonger dans ma bouche. Elle finit par être entièrement sortie et me remplit bien la bouche, d’autant qu’elle est plus large que je ne le pensais. Médor se redresse, je me mets sous lui et lui reprends la bite ne bouche. Il donne des coups de rein comme s’il me baisait de nouveau. Je me maintiens comme je peux, en évitant de me faire défoncer la mâchoire, sa bite est quand même assez longue et ses coups de butoir violents. Un liquide coule constamment dans ma bouche, je l’avale avec délice, j’adore tout ce qui sort d’une bite. Mais j’en veux un peu plus, je me remets à quatre pattes, une seconde après, il me saute dessus et, cette fois-ci, m’empale d’un seul coup jusqu’à sa boule qui commence à grossir. Au deux ou troisième coup de rein, sa boule m’explose le sphincter et s’immobilise tandis qu’il se vide en moi. Je n’en peux plus, je suis au bord de l’explosion et le seul fait de me toucher la bite me fait jouir comme jamais je n’ai joui. Je tombe la tête par terre, le cul en l’air tandis qu’il continue à se vider en moi. Il finit par se dégager dans un bruit de succion mais plus de douleur. Je m’écroule sur le dos, les jambes repliées sur moi et grandes ouverte. Médor s’occupe de me nettoyer avec sa langue ce qui a pour effet de me faire rebander mollement de nouveau, mais je n’ai plus la force. Je finis par me lever et aller prendre une nouvelle ...
    ... douche. La fin de la soirée s’est déroulée normalement, nous étions tous les deux rassasiés de sexe. Je me suis fait prendre tous les jours par Médor qui, autant que je puisse en juger, aimait ça autant que moi. Il nous est même arrivé de le faire cinq fois dans la journée. J’appréhendais de plus en plus le retour de Gabrielle, je ne me voyais pas vivre sans Médor et sa belle bite. J’ai eu des rapports avec un homme pendant cette période, il avait une superbe bite plus grosse et plus longue que celle de Médor, mais, malgré ses efforts, je n’en ai pas retirer la même satisfaction, ni le même plaisir. Le 15 juillet Elodie et Gabrielle arrivent chez moi vers 17 heures pour récupérer Médor. Il fait une énorme fête à sa maîtresse. Les retrouvailles sont très expressives. Gabrielle s’accroupie devant lui pour le caresser, mais lui ne pense qu’à ce qu’il y a sous sa jupe, il est sur le point d’enfoncer sa truffe entre les jambes de Gabrielle quand elle met fin à leurs effusions. Je sens qu’elle est pressée de retourner chez elle avec lui. Comme Elodie sait que je suis bi, je ne me gêne pas. –Tu as l’air pressé de te retrouver seule avec ton chien. –Comment ça ? –Tu sais, il n’a fallu que quatre jours pour que Médor me fasse comprendre quelles étaient vos vraies relations. Gabrielle rougit. –Ne t’en fait pas, moi aussi j’en ai profité et je dois te dire que je suis un peu triste de le voir partir maintenant, j’aime bien nos relations. Elodie me regarde avec un petit sourire. –J’étais sûre ...
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