1. Une Patronne sévère et douce


    Datte: 12/12/2020, Catégories: fh, fplusag, fagée, Collègues / Travail hsoumis, fdomine, BDSM / Fétichisme pied, chaussures, Oral nopéné, sm, nostalgie,

    ... téléphona à ses employées pour les avertir qu’elle devait s’absenter, qu’elle passerait par la petite porte de derrière, et qu’il leur faudrait donc fermer l’entrepôt sans elle, dans une demi-heure au plus tard. Elle alla ensuite fermer la porte à clé et baisser les stores intérieurs, après avoir éteint la lumière, mettant son bureau dans une relative pénombre, à peine éclairé par les lumières de l’entrepôt. Je restai sans bouger, attendant ses instructions, je sentais que mes joues étaient aussi rouges que ceux d’une vierge avant d’entrer dans la chambre nuptiale, mais aussi que ma verge commençait à durcir dans mon pantalon. Là, c’était certain, pour garder mon emploi tout neuf, il me faudrait être à la hauteur de ses envies, et de mes vieux fantasmes de domination féminine… Elle revint s’asseoir sur le devant de son bureau et, après avoir à moitié relevé sa jupe, elle m’ordonna de venir devant elle, puis de m’agenouiller à ses pieds. Le cœur battant à rompre, les joues cette fois toutes rouges, je m’exécutai malgré mes jambes un peu molles… Elle me tendit alors son pied. J’enlevai sa chaussure, la posai délicatement par terre, et me penchant je respirai l’odeur du cuir et de son pied de femme manucuré et soigné. Je ne suis pas un fétichiste des pieds féminins, mais ce petit bijou de pied, cette odeur, bizarrement, rendirent ma verge plus dure. Pendant ce temps, ma Patronne avait posé son pied sur ma tête pour la caresser, puis pour m’appuyer le visage sur sa chaussure. ...
    ... Je sentais la finesse de son collant sur ma tête, sur ma nuque. Me retournant, je lui pris le pied à deux mains et je commençai à le caresser, à l’embrasser, à le sentir. Cela me faisait un effet incroyable, rien qu’en me laissant adorer son pied cette femme venait de me rendre fou amoureux d’elle… Au bout d’un moment, elle m’ordonna : « plus haut mon petit chéri ». Je remontai donc le long de sa jambe, la caressant des deux mains aussi délicatement que je le pouvais. Arrivé au niveau des cuisses, je m’attardai à les caresser, à les masser, ému par la douceur du nylon et de la peau qu’il recouvrait. Ma Patronne se mit alors à resserrer ses cuisses et à pousser ma tête, ma bouche contre son entrejambe. L’endroit était soyeux du fait du collant, chaud et odorant, et je sentais sous mes lèvres l’élasticité d’une motte bien rebondie. Je devinai sous le nylon les deux grosses lèvres de ma Patronne : j’étais aux portes du grand mystère qui attire irrésistiblement les hommes vers les femmes, depuis des centaines et des centaines de milliers d’années… Mais elle se retira soudain, se releva et enleva prestement son collant de marque, ne gardant qu’une large culotte blanche, toute simple, avec un motif de dentelle de chaque côté de l’emplacement du pubis. Cette culotte de satin avait une classe folle, loin de ces sous-vêtements de putes que l’on vend dans beaucoup de boutiques de luxe pour ce genre de clientèle aisée. On devinait ses grandes lèvres sous le fin tissu, et quelques poils ...
«12...456...»