Une Patronne sévère et douce
Datte: 12/12/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
fagée,
Collègues / Travail
hsoumis,
fdomine,
BDSM / Fétichisme
pied,
chaussures,
Oral
nopéné,
sm,
nostalgie,
... dépassaient de l’entrejambe où s’étalait déjà une infime trace de mouille… S’appuyant sur le bord du bureau, elle me fit signe de revenir à sa source, avec un petit sourire complice dans les yeux, satisfaite et amusée, peut-être flattée aussi de ma docilité. Je ne me fis pas prier et je revins appliquer ma bouche contre ses lèvres encore dissimulées sous le fin tissu, en cherchant à titiller l’emplacement probable de son clitoris. Puis je descendis vers l’entrejambe en cherchant à la masturber avec mon nez, pendant que ma bouche faisait ventouse sur la partie basse de ses grandes lèvres, et que mon nez cherchait à sentir l’odeur de son sexe. Je la masturbais ainsi depuis un moment lorsque son pubis se mit à osciller en s’appuyant de plus en plus fort sur mes lèvres. Ses mains, de chaque côté de ma tête, cherchaient à préciser l’action de mes lèvres contre son sexe, et puis soudain un tremblement, des vagues de plaisir qu’on sent parcourir le ventre, une pression encore plus forte des mains, un cri : « Ouiiiiii !, Rhaaaaaaa ! ». J’avais rempli ma fonction, j’avais fait jouir ma Patronne. Mais moi aussi j’étais soudain vidé, je me sentis d’ailleurs pris d’une soudaine baisse de tension qui me fit bourdonner les oreilles, j’étais prêt à m’écrouler et ce sont les mains de ma Patronne qui me retinrent. Je ne l’avais pas pénétrée, je n’avais pas juté en elle, mais la jouissance avait été si puissante pour moi que j’avais été à deux doigts de défaillir, et je m’en serais bien tenu ...
... à cela. Malheureusement ce n’était pas l’avis de ma Patronne, qui me tenait toujours en mains, solidement retenu entre ses cuisses. Se réanimant un peu elle m’exprima son émotion et sa satisfaction, en me disant : — C’est un petit mari soumis à mon plaisir, comme toi, qu’il me faudrait dans mon lit. J’étais passé de statut de stagiaire à celui de petit mari soumis potentiel en quelques instants… — Tu vas continuer à me servir, là, j’ai encore envie de ta langue entre mes cuisses. Elle avait prestement retiré sa culotte, qu’elle avait posée sur le bureau à côté d’elle : petit bijou odorant que j’aurai bien aimé sentir et prendre en bouche, goûter comme un vin de qualité. Malgré la relative pénombre, j’avais enfin pu admirer furtivement son sexe, bombé à souhait, avec de grosses lèvres un peu bestiales, qui tranchaient avec le raffinement de la personnalité de ma Patronne. Il était couvert de poils dont certains étaient déjà gris, un détail qui m’excite au plus haut point, parce qu’il montre qu’une femme en est à son automne, qu’il faut qu’elle se donne, vite, tant qu’il en est temps… J’ai toujours été fasciné par les choses un peu raffinées qui commencent à vieillir, par les meubles anciens, les vêtements longuement portés, les monuments usés par le temps… Toutes les belles choses dont on sent qu’elles prennent de l’âge et vont un jour disparaître me séduisent, et même si je ne les compare pas à ces choses, je ne trouve rien de plus séduisant, depuis tout jeune, que les femmes ...