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Séduction délicate de la soeur de ma mère (6)
Datte: 12/12/2020, Catégories: Inceste / Tabou
... avec elle dépassait l’impensable et c’était peut-être cela qui m’excitait inconsciemment. Ma tante plus terre à terre n’y pensait même pas, nous avions déjà franchi un pas en baisant ensemble et elle de son côté, en pratiquant une fellation qualifiée de royal à Biarritz avait atteint voire dépassé ses interdits. Je restais le fils de sa sœur avec lequel elle entretenait des relations sexuelles, ne l’oublions pas. Le fait de repartir chez mes parents, de voir ma mère allait la faire sombrer dans la culpabilité, la honte de s’être abandonnée à son neveu. — Je suis ton rêve éveillé ? Alors tu es amoureux de moi pour me dire ça ? — Euh Véronique… Tu m’embarrasses avec cette question. Et je crois que c’est déjà pas mal les sentiments que nous avons entre une tante et son neveu. En fait j’ai dépassé ce clivage entre toi et moi et je te considère comme ma copine désormais. Mais je dois bien t’avouer que de toutes les femmes que j’ai connues, tu es vraiment réceptive. — Mais qu’est-ce que tu as avec ce mot, je suis réceptive ? Dit-elle en relevant sa belle frimousse. — Tu te rappelles quand j’étais en train de te sauter ? Tu m’as dit "tu fais tout ce que j’aime". Et bien pour moi, c’est pareil et je n’ai jamais rencontré une femme que j’aime autant lécher, t’as une chatte…c’est une merveille. Cette fois la mine de Véro changea. Elle détestait que je lui parle de son anatomie, qui plus est quand il s’agissait de son intimité. Néanmoins elle ne se laissait pas démonter. — Oh te voilà à ...
... nouveau en train de me parler de mon sexe ! Je ne vois pas ce que j’ai d’extraordinaire ! On en reparlera ce soir Patrick et je voulais te dire que je me sens bien quand tu es là. Ajouta-t-elle d’un ton attendrissant. — Oui on en discutera ce soir et fais-moi un baiser. Elle se pencha sur moi et notre baiser fut à l’image de notre conversation. Nos langues se cherchaient pour mieux se retrouver et nos lèvres se fondaient entre-elles. L’harmonie parfaite. II devait être 19h et nous prenions notre apéritif. Un petit coup de sonnette résonna. — Ca doit être le voisin qui me demande son courrier, je l’ai gardé pendant ses vacances. Patrick tu peux lui ouvrir et le lui donner ? Je ne peux pas dans cette tenue. — J’y vais. — Merci beaucoup ! Ma tante n’avait mis qu’un tee-shirt et un slip. Ouvrir dans une tenue pareille aurait été osé de sa part et je donnais au voisin, un type rondouillard fort sympathique ses lettres tant attendues. Il me remerciait mille fois en me demandant de saluer Véronique de ma part. En repartant sur mes pas, j’apercevais dans le couloir une silhouette loin de m’être inconnue. Ma tante avec son simple tee-shirt et ses longues jambes perchées sur ses escarpins à talon haut m’attirait de plus en plus, avec un côté volontairement provocant. Ses talons affinaient l’ensemble de sa jolie personne et encore une fois, la voir ainsi me mit dans un état… — Il est sympa, tu lui as donné le courrier ? — Oui. Enlève voir ton slip Véronique. — Oh quand même Patrick, je ...