Séduction délicate de la soeur de ma mère (6)
Datte: 12/12/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
... tee-shirt, mon sexe me faisait des misères. Sans savoir si ma tante le fit exprès, elle partit vider le cendrier. C’était encore une fois l’occasion de contempler ses deux belles pommes, si fermes et si harmonieuses. De retour, elle me fixait longuement du regard en tirant des bouffées sur sa cigarette. J’adorais tout en elle, sa poitrine, ses lèvres, ses doigts fins, ses pieds élancés et sa maturité. Elle secouait la tête pour dégager des mèches rebelles sur son visage, geste d’une sensualité extrême. — Patrick, tu conduis demain ? — Oui nous partirons vers 9h et nous y serons dans l’après-midi. C’est sympa de revoir la famille. — J’espère que je vais surmonter le regard de ta mère. — Tu y arriveras et puis nous sommes si proches, on a tout fait ensemble ma belle Tatie. Insinuai-je en attente de sa réaction. — Sexuellement je suis comblée avec toi. Je ne suis pas à plaindre ! Il faut suivre ton rythme. — Véro…Tu suis mon rythme avec une aisance déconcertante ! D’ailleurs ma proposition tient toujours. C’était fait, j’avais lâché ma flèche. Véro se devait de répondre par oui ou un non. La connaissant, elle allait se dérober. Sans lui laisser le temps de réfléchir, j’enfonçais à nouveau le clou. — Tu ne sais pas quoi répondre. Je sais qu’au fond de toi tu ne dirais pas non, tu ne l’as jamais fait et en plus ce serait avec moi. Tu connais ma délicatesse, donc tu n’as rien à craindre. En plus ce serait carrément magique que ce soit moi Véronique. Après la longue tirade, ma ...
... tante éteignit sa cigarette et s’adossa contre la chaise en décroisant les jambes. Sa belle intimité était à découvert, était-ce une provocation ou une invitation ? J’étais dans le brouillard total. Je fixais intensément ma tante qui ne baissait pas le regard. Elle aussi se retrouvait perdue mais à sa façon de m’observer, je la savais pensive, hautement pensive. — Patrick, tu peux me masser les pieds ? Ca me soulagerait. Dit-elle en les allongeant sur mes cuisses. Je passais mes mains sur le dessus de ses orteils pour savourer cette peau si délicieuse au toucher. Vache ! Elle savait s’y prendre avec moi et connaissait mon péché mignon. Je ne suis pas fétichiste mais ma tante possédait des pieds d’une rare élégance et cela ne faisait que rajouter un charme supplémentaire à sa personne. Elle en jouait et j’ajouterai qu’elle déjouait par la même occasion mes plans mais c’était mal me connaitre. — Comme tu as la peau douce à cet endroit, c’est agréable de te détendre de cette manière. Précisai-je en passant et repassant le long de sa voute plantaire. — Tu sais comment me relaxer Patrick, j’en profite. Tu me connais par cœur. — Oui et j’adore te faire jouir, tu es très belle au moment de jouir. — Euh oui…Répondit-elle en manipulant son rond de serviette mal à l’aise. Véro me jetait un bref regard, le fait de lui avoir dit qu’elle était belle au plus beau des moments l’avait déstabilisée. Lui dire cela, c’était comme si j’avais fouillé dans son âme, que je transperçais la barrière ...