1. Fille au pair (chapitre 4 / 6)


    Datte: 21/10/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... moi et en me disant de ne pas avoir peur, elle passe sur ma tête une cagoule en satin noir qui m’aveugle complètement. Ernesto dit à Monica : - Sidonie ne doit pas voir où nous allons exactement et en plus, il faut qu’elle ait la surprise des lieux. Nous reprenons notre route, et après une bonne heure, je sens la voiture ralentir et s’engager dans un chemin pentu apparemment étroit et bien entretenu. Dix minutes plus tard, Ernesto arrête la voiture, coupe le moteur et je sens Monica qui m’aide à descendre. Je pose avec précautions les pieds sur un sol gravillonné. Monica ouvre ma cape, en faisant passer les pans sur mes épaules, puis je sens la laisse se tendre. J’avance, toujours aveuglée par la cagoule : - Ah ! Quelle fille superbe tu nous amène ! Autour de moi, c’est un brouhaha de voix qui complimentent Monica et Ernesto. Je sens des mains qui caressent mes épaules, mes seins, mes hanches, le bas de mon dos quand soudain ma cagoule est retirée. Je ne saurai jamais par qui, mais je me trouve devant une assemblée d’une douzaine d’hommes et de femmes portant tous le même genre de tenue : pour les femmes, une cape longue qui recouvre les vêtements ou plus souvent les ...
    ... sous-vêtements et un loup plus ou moins petit masque le haut du visage. Pour les hommes, c’est une sorte de juste au corps uni, noir, fauve ou gris pale. Guidée par Monica qui tient la laisse, j’avance au milieu du groupe et nous entrons dans une immense bâtisse ancienne où après avoir traversé une pièce relativement fraiche, nous débouchons dans un grand patio meublé de divans, lits de repos, coussins, poufs de hauteurs diverses. Vous avez deviné dans quel lieu nous sommes… Nous sommes dans un lieu de luxure où tout est prévu pour une gigantesque partouze. Monica s’avance vers un homme, un véritable colosse aux épaules larges et à la taille étroite, prise dans une ceinture de satin de couleur vive. Elle s’incline devant lui et je comprends que c’est notre hôte : - Voila Maître celle dont je vous ai parlé ! Elle est là pour partager notre fête et selon votre bon plaisir. Ce dernier s’approche de moi, je sens son regard qui me transperce mais d’une voix douce il me dit : - N’aie pas peur mon petit oiseau ! Nous sommes entre gens de bonne compagnie, tu n’as rien à craindre. En disant cela, il me débarrasse des menottes et de la laisse qu’il donne à Monica. (A suivre). 
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