La vengeance est un plat qui se mange à plusieurs
Datte: 14/12/2020,
Catégories:
fhh,
extracon,
inconnu,
Collègues / Travail
boitenuit,
humilié(e),
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
préservati,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
init,
journal,
ecriv_f,
... devinait ce que je porte ou plutôt ce que je ne porte pas. Je suis ébahie par mon audace. Nous regagnons notre place et Gérard est un peu bougon. Il me dit à voix basse « Cette robe est superbe pour notre intimité mais ici elle fait un peu indécente, on voit tes bouts de sein à travers le tissu. » Je le regarde avec surprise et, très hypocrite, je lui dis que je ne savais pas et que, comme toujours, je comptais sur lui pour me conseiller : si j’avais mis cette robe c’était pour lui faire plaisir. Il reprend le dessus pour ne pas se montrer ridicule mais je sens bien qu’il est contrarié. La soirée se poursuit et je danse à plusieurs reprises avec les différents hommes du groupe. Seul Gérard ne m’a pas faite danser. Je sais qu’il me bat froid, il sourit, parle normalement mais au fond de lui il doit rager… J’en suis très heureuse et l’envie d’augmenter sa colère me donne des ailes. Les autres clients partent petit à petit et un couple du groupe nous abandonne puis un autre, Gérard m’a déjà murmuré deux fois qu’il souhaitait rentrer, cela me donne encore plus envie de rester. Des slows remplacent le disco et mon voisin de table me prend la main en signe d’invitation, se penchant vers Gérard avec un « Vous permettez ? » qui ressemble à une moquerie. Je suis mon cavalier et il m’enlace sur la piste, me serrant de plus en plus au fil de la chanson. Ses mains sur mes hanches me semblent toucher ma peau directement. Le moindre glissement me donne l’impression d’une caresse intime. ...
... Je suis troublée et, petit à petit, je ressens un autre trouble chez mon cavalier. La bosse dure qu’il appuie sur mon ventre me fait comprendre l’effet que je lui fais. En temps ordinaire, je l’aurais planté au milieu de la piste mais ce jour-là, j’en éprouvai du plaisir, d’autant que Gérard avait de plus en plus de mal à faire bonne figure. Sentant que j’acceptais son étreinte, mon hidalgo se serra encore plus, me faisant sentir son désir, et ses mains se mirent à bouger sur mes hanches, glissant sur le haut de mes fesses. Je me contractai, devinant qu’il se rendait compte que je ne portais rien sous ma robe, il souffla dans mon cou et lorsque je levai la tête, ses lèvres étaient très proches des miennes, je sentis qu’il allait m’embrasser et je posai ma tête sur son épaule. Un coup d’œil vers Gérard me permit de voir qu’il était vert et cela me fit un bien fou… La danse finie, je me décollai de mon partenaire pour rejoindre notre table, où seul Gérard était assis. Il me demanda à nouveau de rentrer, mais je fis celle qui n’entend pas et, alors que je m’asseyais, un autre commercial m’invita à danser un rock assez rapide. J’opinai et le suivis sur la piste. Très vite il me fit tourner et virevolter autour de lui. Chaque fois qu’il m’attirait vers lui, une main glissait sur moi, me caressant le dos, les fesses, me frôlant un sein. La danse, le champagne, la situation, peut-être un début d’excitation, me faisaient tourner la tête et, au fur et à mesure, je venais rechercher ce ...