1. La vengeance est un plat qui se mange à plusieurs


    Datte: 14/12/2020, Catégories: fhh, extracon, inconnu, Collègues / Travail boitenuit, humilié(e), vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, préservati, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, init, journal, ecriv_f,

    ... solitaires de mon adolescence. Je suis folle… Je me secoue et enfile à nouveau la robe. Je suis nue sous une fine pellicule de fin tissu, le sexe rasé, plus nue que je ne l’ai jamais été. L’image que je voie dans le miroir me plaît, mais l’idée de sortir et d’être vue comme cela m’angoisse. Je sors de la salle de bain et la tête de Gérard vaut tous les efforts. Il est béat, bouche ouverte, yeux ronds. Sans dire un mot, il me suit du regard. Je prends ma pochette et me dirige vers la porte en lui disant « Eh bien, on y va ? » Il bafouille, les yeux rivés sur mes hanches ou mes fesses. J’ouvre la porte et sors, avec une assurance que je ne ressens pas. Je ne sais pas ce qui me pousse, je ne sais pas ce que je vais faire, je suis mon instinct et, si nous rentrons ce soir sans que rien ne se soit passé pour assumer ma vengeance, je ne serais pas déçue car rien n’est programmé. Nous retrouvons les autres dans le hall mais le regard des hommes montre qu’ils ne me tiennent pas rigueur du retard. Il n’en va pas de même des femmes dont la moue me semble plus critique. Minuit : nous entrons dans la boîte, petite, presque intime avec ses tables en alcôve le long des parois et quelques tables autour de la piste qui sépare la salle du bar. Une dizaine de personnes au plus garnissent la salle. C’est vrai qu’il est dimanche et que les vacances ne sont pas commencées. Nous nous installons à une table d’alcôve, prolongée d’une table normale pour accueillir notre groupe de douze. Je suis ...
    ... assise sur la banquette, entre Gérard et un vendeur dont je ne me souviens plus du prénom. Il se colle un peu à moi me mettant mal à l’aise : j’ai malgré tout un peu peur qu’un sein ne sorte du corsage ou que ma robe ne remonte trop. La prise de commande se fait dans un brouhaha. J’opte pour une coupe. Nous sommes trois à prendre du champagne et mon voisin commande une bouteille. L’ambiance est détendue et nous plaisantons en buvant, un peu assourdis par une musique disco des années 80. Un rock connu jaillit des enceintes, plus sonore encore. Mon voisin m’invite à danser. Mon geste pour me lever vaut acquiescement mais, sitôt levée, tous les regards sont fixés sur moi et je regrette déjà. Il est trop tard, il faut y aller. Je franchis les quelques mètres en serrant les fesses, n’osant tirer sur le bas de ma robe et craignant qu’elle ne soit remontée : j’ai la sensation de sentir de l’air sur mon sexe. Mon cavalier m’enlace et me prend la main pour m’entraîner dans un rock endiablé. Après quelques instants de flottement, nous trouvons notre rythme et je suis guidée par la main sûre d’un homme habitué à faire danser des cavalières différentes. Je me sens de plus en plus détendue et mon regard croise régulièrement celui de Gérard qui semble statufié. Un second rock un peu plus lent s’enchaîne et nous continuons à danser. Notre exemple est suivi et plusieurs couples nous entourent. A plusieurs reprises, la main de mon cavalier m’effleure, me faisant frissonner. J’imagine sa tête s’il ...
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