1. Le fantôme de mon cœur


    Datte: 15/12/2020, Catégories: f, fh, Oral pénétratio, fsodo, jeu, attache, fouetfesse, délire, merveilleu, fantastiq, amourpass,

    ... me tient par la taille, et sa main ne cesse de descendre et de me caresser les fesses. Je crois bien que si je n’étais pas aussi prise par le temps, je le violerais dans l’un des recoins du château. ---oooOooo--- Tout est allé très vite : j’ai déposé les souverains dans l’un de ces comptoirs de l’or qui fleurissent à tous les coins de rue et je suis repartie avec un chèque, chèque que j’ai simplement déposé sur mon compte. Et une petite heure plus tard, je repartais avec un superbe cabriolet quasiment neuf, une voiture comme je n’osais pas en rêver. Il devrait être content, Mac Hillian : j’ai fait ce qu’il m’a demandé… Je me surprends à espérer qu’en rentant, il veuille en avoir pour son argent – même si ce n’est pas le sien – et qu’il me colle une fessée comme lui seul en a le secret.« Ce n’est pas vrai… rien que d’y penser, je mouille ! Non, il va vraiment falloir que je me fasse soigner. » Mais pour le moment, j’attends. La secrétaire du professeur m’a prévenue : il a un autre rendez-vous avant moi et cela risque de durer un moment. Alors, pour tromper le temps, je feuillette le fameux bouquin, celui que Mac Hillian m’a demandé d’aller chercher dans la bibliothèque… Je ne sais pas qui a écrit cela et encore moins si c’est conforme à la réalité, mais de son vivant, cela m’avait tout l’air d’être un sacré zouave, mon fantôme. Et des femmes, il y en a eu un paquet, dans sa vie… Jusqu’à ce qu’il rencontre une certaine Either. Apparemment, on ne sait pas grand-chose de cette ...
    ... superbe rousse, si ce n’est qu’elle était la fille de l’un des nobliaux du coin. Par contre, le livre est beaucoup plus prolixe lorsqu’il s’agit de dénombrer les hommes et les femmes qui furent supposés être ses amants. Mon dieu, si la moitié de ce qui est écrit est vrai, elle avait de la santé, madame Mac Hillian ! Et pendant ce temps, notre homme serrait les dents sans rien dire… L’amour rend aveugle, mais il me semble pourtant qu’il y a des limites à tout. Ah, l’on arrive à la partie qui m’intéresse vraiment : celle de la mort de sa dulcinée, emportée par un mal inconnu. Il faut dire qu’à l’époque, les connaissances de la médecine étaient passablement limitées… Soudain, mon sang se glace : ce bouquin n’est pas tombé du ciel, et comment un humain peut-il être au courant de toutes ces choses ? Comment un humain pourrait-il savoir comment se sont déroulées les négociations entre Mac Hillian et le diable ? Cet ouvrage ne serait-il qu’un immense tissu de fadaises ? Je suis sidérée, d’autant que mon fantôme semble y croire dur comme fer, lui. Je corne la page pour abandonner la lecture, puis me ravise. Je saute les passages sur les incantations, pour me rendre compte qu’il y a deux pages, tout à la fin, qui n’ont pas été imprimées. C’est d’autant plus surprenant qu’il ne s’agit probablement pas d’un oubli : les pages en question sont numérotées dans le coin en bas et à droite. Bah, cela n’a pas grande importance… D’autant que le professeur Guardian vient d’arriver. Après quelques ...
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