1. Arrivée du prince charmant


    Datte: 17/12/2020, Catégories: fhh, extracon, extraoffre, fépilée, vacances, amour, volupté, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, BDSM / Fétichisme massage, jeu, init,

    ... contraire très délicat et enivrant. Mais vous valez mieux qu’un adultère grossier. J’aimerais, Christian, j’aimerais, Nathalie, voir fleurir votre désir, le voir répandre sur nous trois sa douceur, son éclat et son parfum. « Je sais que je vous demande quelque chose d’inattendu, de choquant peut-être. Mais faites-moi confiance, et, pendant les jours qui viennent, laissez-moi juge de ce que votre désir l’un pour l’autre peut s’accorder. Laissez-moi guider votre jeune amour – car c’est une forme d’amour qui existe entre vous, et je ne m’en offusque pas. Je vous promets des jouissances plus grandes que toutes les possessions vulgaires. Acceptez-vous, acceptez-vous de faire de moi votre initiateur, et en quelque sorte l’arbitre de vos plaisirs ? » Pendant tout ce long discours j’étais passé dans le dos de Nathalie ; j’avais introduit ma main sous sa chemise, la faisant remonter le plus haut possible jusqu’à sa poitrine, et, sous les yeux exorbités de Christian, j’exhibai ainsi le slip, le ventre et une partie des seins nus de ma femme qui avait cessé toute résistance. « Acceptez-vous, répétai-je ? » Nathalie consentit d’un murmure, Christian consentit d’un silence. « Alors, il faut sceller notre alliance. Christian, dites-moi si vous êtes d’accord avec ceci : quand une femme nous dévoile une partie de son corps, n’est-ce pas qu’elle nous autorise à en jouir, au moins par le regard que nous y posons ? Quand une femme nous montre ses jolis bras, son joli dos, ses belles jambes, ...
    ... ce n’est tout de même pas pour que nous détournions notre regard, n’est-ce pas ? — Eh bien, oui, certainement, répondit Christian, qui ne voyait pas où je voulais en venir.— Nathalie, il me semble, n’a cessé, ce soir, de vous dévoiler bien des régions appétissantes de son corps, et vous n’avez rendu hommage qu’à ses pieds. N’est-ce pas injuste ? Christian sourit ; il commençait à comprendre. Nathalie, debout dans mes bras, que je continuais à peloter, commença, elle aussi, à saisir et fut parcourue de légers tremblements. — Christian, je suis sûr que Nathalie, qui n’est pas dépourvue du sens de la justice, vous autorise à poser vos lèvres sur toutes les parties de son corps sur lesquelles vous avez déjà déposé vos regards. N’est-ce pas ma chérie ? Nathalie, les yeux baissés, son visage brun maculé soudain de rougeurs aux pommettes, ne protesta pas. Le pouvait-elle, après ce qui s’était dit ? Christian s’approcha, timide encore, mais entrant dans le jeu. Il s’agenouilla et se mit à embrasser les jambes de ma femme ; tout en faisant remonter ses mains à la limite de la chemise, il baisa avec amour les mollets, les genoux, l’extérieur et même l’intérieur des cuisses. J’étais toujours collé au dos de Nathalie, qui pouvait sentir, contre ses fesses, la puissance de mon érection. Au fur et à mesure que le visage de Christian remontait les cuisses, je relevais, de mes mains plaquées sur le ventre de ma femme, la chemise blanche qui recouvrait la petite culotte. Christian, toujours à ...
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