Arrivée du prince charmant
Datte: 17/12/2020,
Catégories:
fhh,
extracon,
extraoffre,
fépilée,
vacances,
amour,
volupté,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
BDSM / Fétichisme
massage,
jeu,
init,
... incontestablement une allure féminine. Lui aussi fut, visiblement, surpris, bien qu’il s’efforçât de n’en rien laisser paraître. « J’espère, dit-il, que je ne vous ai pas sortis du sommeil… », dit-il en observant la tenue plus que légère de Nathalie. Celle-ci, embarrassée, répondit qu’elle voulait s’habiller mais avait eu, comme toujours en vacances, un peu de retard. « Ça n’a aucune importance, m’empressai-je d’ajouter, je suis sûr que Christian n’a rien contre les jolies brunes en tenue négligée… », en lui adressant un clin d’œil complice. « Allez donc vous installer au salon, j’apporte de quoi fêter votre arrivée… » Nathalie n’a qu’un seul vice : elle apprécie le champagne. Au bout d’une heure d’aimable conversation accompagnée de plusieurs coupes, elle était devenue très gaie, un peu grisée. Nous étions assis sur le canapé, Christian et moi. Nathalie nous faisait face, assise sur une chaise. D’abord les jambes serrées pour ne rien laisser voir de trop compromettant, puis, sous l’effet de l’alcool, de moins en moins vigilante. Après une demi-heure où nous avons surtout « parlé boulot », nous sommes venus, Christian et moi, à aborder des questions plus frivoles, quoiqu’en des termes très convenables. Mais j’avais eu le temps de jauger le collègue de ma femme. Fin, intelligent, certes, mais très réservé, et même un peu inhibé. Nathalie m’avait dit, d’ailleurs, qu’il avait lu mes livres et les admirait. Il ne m’en fallait pas davantage pour présumer que je pourrais, ce ...
... soir et les jours suivants, l’amener aisément où je voudrais. Mais où, précisément ? Je ne puis dire à quel moment (mais j’y étais sans doute pour quelque chose…), nous nous mîmes à faire des commentaires sur les jolies jambes des femmes. Des jambes, j’en vins aux pieds. Je n’oubliais pas, en effet, que quelques semaines plus tôt, Christian était tombé sous le charme de « Cendrillon »… Je lançai donc : — Je trouve que ma femme a de très jolis pieds, pas vous ?— Tout à fait d’accord, répondit-il d’un air un peu gêné.— Naturellement, avec ces baskets, on ne voit rien. Nathalie, fais-nous donc voir tes pieds, dis-je en souriant. D’abord interdite, elle céda, faisant mine de rire devant cette idée saugrenue ; elle tendit ses deux pieds vers moi. Lentement, je défis les lacets de ses baskets et en sortis deux pieds sublimes, des pieds tièdes encore, lisses et soignés comme s’ils ne s’étaient jamais posés sur le sol. Je rapprochai ses pieds de Christian, dont le trouble était perceptible. — Regardez, lui dis-je en passant mes doigts sur la plante et les orteils de Nathalie, comme c’est doux. Ce que ces pieds ont de ravissant, remarquez-le bien, c’est non seulement leur forme, leur galbe, mais leur douceur : voyez comme la plante et les orteils sont roses et tendres, presque satinés … Touchez donc, elle ne va pas vous mordre. Au contraire, je vais vous faire une confidence, entre hommes, elle adore qu’on lui touche les pieds… Christian s’exécuta, avec embarras, mais avec un plaisir ...