Un fil rouge pour Joëlle [Partie A] (3)
Datte: 22/10/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... fait de même sur le canapé, en miroir. Il la rejoint une fois nue et la place à genoux, coudes sur le haut du dossier qu’il contourne pour remplir la bouche de sa queue. – Chienne ! tu veux la bite de mon pote, hein, la mienne ne te suffit plus, tu vas l’avoir ! – Oui, vos deux sexes, rien que pour moi Laurent contourne la femme et d’un coup pénètre son con. – Et là aussi, tu nous veux ? – Vos deux pines dans ma bouche, dans ma chatte – Et dans ton cul, salope ! – Non pas là… – Je te l’ai promis, Joëlle, je t’enculerai, je ne suis pas pressé, mais je te mettrai ma bite là-dedans je te le promets, dit-il, plongeant plusieurs fois le pouce dans la moule et lubrifiant l’anus avant que celui-ci la pénètre complètement Elle le laisse faire. Son plaisir surgit, plus diffus ; le geyser ne fuse pas que du sexe, le tsunami submerge des zones inexplorées, dans les reins, entre ses fesses. * Une dizaine de jours plus tard, ils se retrouvent dans un restaurant de spécialités du Sud-Ouest. Joëlle porte sa courte robe-corole noire qui bouge si bien sur elle, à même les seins, un string jaune vif et des bas-jarretières couleur chair. Elle embrasse Laurent sur la bouche et Franck ressent un malaise inattendu. Il a pourtant vu sa chérie sucer la bite de Laurent, se faire baiser en levrette et toutes sortes de positions, en matant derrière les fenêtres, mais là, dans la vraie vie, des picotements parcourent ses cervicales. Laurent est très guilleret, il est justement originaire du Gers et ...
... très volubile sur sa région. Joëlle et Franck, de parfaits ignorants du monde sportif se laissent prendre par ses anecdotes de vestiaires bien réelles… – Par exemple, si j’emmène Joëlle dans les vestiaires quand nous prenons notre douche, il y aura toujours quatre ou cinq mecs qui ne voudront pas participer aux ébats. Comme nous sommes dix, ça en laisse au moins cinq pour s’occuper de toi… – Ça fait quand même beaucoup… commente Joëlle, songeuse – Avec moi, alors, ça fait six, réplique Franck Il va régler et quand il revient à la table il voit la main droite de Laurent glissée entre les cuisses écartées de Joëlle qui lui envoie un bisou. – On va boire un verre pas loin d’ici, propose Franck, au bar du dernier étage du Sofitel qui surplombe l’héliport Paris-Issy, j’aime bien cet endroit. Et puis l’ascenseur extérieur vitré est inspirant pour les exhibitionnistes… propose Franck Il connaît une place « tolérée » pour se garer sur le parking toujours bondé de l’hôtel, juste à côté de l’entrée du sous-sol et s’y place. Une voiture de police allume ses gyrophares et intime l’ordre de partir. – Descendez, tous les deux, je vous retrouve au bar : celui du dernier étage, pas celui du hall Le couple d’amants pénètre dans le hall et Franck part en chasse d’une place. Franck rejoint le salon panoramique feutré et sombre, fait le tour. Plus d’hommes que de femmes, mais de belles femmes, beaucoup de cuisses exposées, …mais pas de Joëlle, ni de Laurent. Il les cherche, bien sûr au bar du hall, ...