Un fil rouge pour Joëlle [Partie A] (3)
Datte: 22/10/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... dans les couloirs, partout… Sa femme, disparue avec son baiseur dans cet hôtel immense… Joëlle se fait défoncer quelque part… mais où ?… Quand Joëlle et Laurent passent la porte de l’hôtel, dans ce vaste hall inférieur impersonnel et vide, Laurent passe la main sous la courte robe, caresse ses rondeurs ; Joëlle se tourne vers lui et l’embrasse à pleine bouche, il lui caresse les seins puis titille la vulve trempée. Il prend la main de Joëlle et l’emmène en courant vers une porte plus à gauche : les toilettes… une porte ouvre sur l’espace qui oriente le public selon son sexe. Au Sofitel, tout est plus grand ; les toilettes hommes sont un vaste espace tout carrelé, peu éclairé. Les lavabos alignés au fond devant un immense miroir, des portes de chaque côté, deux forts piliers au milieu. Laurent s’adosse à celui qui fait face au mur de glace, se dégrafe et libère sa queue triomphale. Joëlle s’accroupit ; doigtée avec dextérité depuis le milieu du repas elle est en feu, jette sa bouche autour du mandrin, l’avale progressivement jusqu’au fond. Il flotte une atmosphère d’urgence dans cette pipe débridée… Le lieu, les circonstances émoustillent les amants ; Laurent s’anime, se retient, Joëlle ne cesse ses mouvements saccadés, rapides, profonds sur le membre. Puis Laurent la relève, la guide, et, tournée vers son reflet, appuyée sur la paillasse souillée, Joëlle reçoit violemment la pine au plus profond de sa chatte. Il reste ainsi engouffré, retire la courte robe noire en jersey ...
... ample et sensuelle. Ses mains en coupelles, il présente les seins en triomphe au miroir, à sa captive, à lui-même et son labourage commence, d’abord lentement. – Tu aimes ça, petite salope ! Tu minaudes devant ton mari, mais tu raffoles de te faire labourer par le premier mâle, avoue chienne – J’aime ça, chuchote-t-elle – Plus fort pétasse ! – Baise-moi à fond, Laurent, ta queue… plus fort, oui, encore… hurle-t-elle alors Un bruit à l’entrée ! Laurent pousse Joëlle vers la première porte, et vite s’enferment dans un WC. Ils sont silencieux. Un homme se soulage et repart. – Fais-moi bander encore, vite ta bouche ! réclame Laurent en retirant la culotte safran – Je vais te rendre conquérant, tu vas voir Et Joëlle, totalement nue, agenouillée de nouveau, pompe le sexe de Laurent encore luisant de sa propre liqueur, odorant de ses humeurs intimes. Elle fait glisser la tige profondément et s’active assidument ; quand le gland atteint sa gorge, tout au fond, elle se penche au-dessus de la cuvette pour que le mâle la possède. Laurent fait mine de vouloir pénétrer la rondelle bien fermée… – Non, Laurent, pas par-là, mais prends-moi, baise-moi, je te veux Comment refuser à une aimable épouse, une si virulente requête ? Laurent, tout confiné dans ce petit réduit, la touffe femelle offerte, se sent le maître de ce petit univers. – Je te baise, Joëlle, ton mari doit nous chercher partout, te pister dans tous les couloirs… Mais c’est moi qui te nique, tu le sens mon membre qui te pilonne, je ...