1. Un fil rouge pour Joëlle [Partie A] (3)


    Datte: 22/10/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... vais te faire jouir, salope, femelle volage Joëlle pénétrée, ramonée, offerte se sent glisser en ce lieu glauque, dans cette chiotte ; la vague se concentre entre ses cuisses ouvertes, irradie son bassin et la submerge, provocant un râle de jouissance. Le pauvre gars discret qui pissait tranquillement à côté devient soudain attentif à chaque bruissement. Il épie, traque, espérant se placer sur la liste de la bonne fortune, et quand il s’écarte de l’urinoir, le jet d’eau se déclenche. Laurent, un doigt sur les lèvres de Joëlle lui impose le silence et jouit en elle sans bruit dans une dernière secousse. Elle enfile sa robe, ils sortent et passent tranquillement devant un barbu qui scrute le couple, les mains dans le ventilateur. Franck, en furie, arpente tout l’hôtel, ses phalanges détruites à force de boxer les murs des couloirs, les cloisons des ascenseurs… Il cherche sa femme et il est la cause de tout cela… Soudain, le couloir du bar panoramique, ils arrivent. Instantanément soulagé, Franck reçoit dans sa main une boule soyeuse et humide que Laurent lui dépose : la culotte de Joëlle ! kymkvvcq – Tu l’as baisée salopard ! – Et tu voulais quoi ? Bon on a soif, Joëlle, surtout… on y va, au bar ? Ils s’installent à une table près de la minuscule piste de danse, un orchestre de blacks joue du jazz en sourdine, pas mal d’ailleurs. Franck a mis la culotte safran en pochette sur sa veste bleue. – Alors ? s’enquiert Franck à l’adresse de Joëlle – Il m’a emmenée aux toilettes homme… ...
    ... Pendant que les deux amants racontent leurs exploits, discrètement Franck passe la main sous la courte robe noire et trouve la fente inondée de Joëlle. L’orchestre entame alors « Sixteen Tons », le rock favori de Franck et Joëlle ; il l’invite à danser. Face à quelques tables, il fait virevolter Joëlle et trouve que l’assistance les observe beaucoup, des mecs se retournent. C’est au tour de Laurent de conduire Joëlle, et là, sirotant son « Bloody Mary », Franck comprend pourquoi Joëlle capte autant l’attention : la petite robe noire ! Un tour, on voit sa toison et ses fesses, deux tours, le nombril, trois tours, les seins… Le quartet s’est mis au diapason de l’ambiance soudain électrisée du bar et poursuit la séquence rock… Une attraction inopinée anime soudain ce lieu ordinairement très feutré. Joëlle ne quitte pas la piste de danse, une strip-teaseuse sur l’estrade n’envoûterait pas autant la salle sombre, dont on devine les voyeurs, hommes et femmes ; la peau dorée de Joëlle prend toute la lumière dans la pénombre. Laurent enchaîne deux rocks, la robe tournoie, vire, s’envole. Puis un inconnu s’impose plus qu’il n’invite Joëlle pour le quatrième morceau, puis un autre… Les mains des danseurs anonymes rattrapent la partenaire plus par les fesses que dans le dos, et tentent d’effleurer toutes les parties de peau nue. Joëlle capitule au bout de huit plages endiablées, retour au jazz. Essoufflée, alors que quelques applaudissements fusent, elle se penche vers les deux garçons ...