1. Rencontre inespérée


    Datte: 28/06/2017, Catégories: fh, campagne, Oral

    ... ce moment, nous étreindre loin des regards indiscrets et jaloux. L’odeur de son corps, ses cheveux bouclés, la pointe de ses seins que je sens contre mon poitrail m’enivrent, toujours plus collée à moi. Elle ne peut que percevoir le désir qui éclot sous mon short. Nos corps se séparent pour reprendre notre bicyclette. — J’espère que tu ne seras pas trop gêné pour pédaler !— Ah bon ? Pourquoi ?— Je te fais de l’effet, apparemment ! termine-t-elle en pouffant de rire. Comment pourrait-il en être autrement ? — Ah, ces hommes ! Elle me sourit d’un air canaille et amusé tout en enfourchant son vélo. Nous flânons sous la chaleur de l’après-midi, nous amusant à accélérer puis ralentir. Son rire frais est un appel ! Les regards qu’elle me lance une invitation ! Je me sens léger, heureux ! Elle démarre soudain en trombe pour s’arrêter à l’entrée d’un bosquet en plein champ où elle m’attend, debout, les mains sur ses hanches, faisant ressortir ses seins que j’imagine dressés sous son chemisier. — Regarde : ici, nous serons tranquilles. Elle pénètre dans le sous-bois ; le soleil fait des taches mouvantes sur le sol. Le calme est seulement troublé par le bruit incessant des insectes, par une légère brise qui caresse la cime des arbres. Sylvie marche devant moi ; chaque regard qu’elle m’adresse est un appel. J’imagine ses courbes délicieusement féminines. Devant nous, sur une tache de soleil, un douillet nid d’herbes sauvages s’offre à nous. Sylvie extrait un plaid de son petit sac à dos ...
    ... et l’étale sur l’herbe, faisant fuir une myriade de sauterelles et d’insectes. Son regard plonge dans le mien. Nous sommes seuls au monde. Maintenant, langoureusement allongée devant mes yeux, le regard brûlant d’envie, elle murmure d’une petite voix douce : — Alors, tu viens ? Les jambes flageolantes, je m’écroule à ses côtés. Nos lèvres se mêlent dans un charmant méli-mélo. Lorsque je me redresse, mon regard s’attarde un moment sur son chemisier. — Puisque tu as tant envie de voir mes seins, tu sais ce qu’il te reste à faire ! Délicatement, sans quitter ses yeux, je défais un à un les boutons de son chemisier, puis ma main part à la découverte des jolis fruits défendus ; mes doigts rencontrent un mamelon. Sylvie ferme les yeux ; je finis d’ouvrir son chemisier. Mes yeux émerveillés découvrent enfin son corps, ses jolis seins ronds, sa divine peau de brune, si douce, si satinée, son ventre plat. Le tendre et régulier mouvement de sa respiration. Je suis subjugué ! Ébloui ! Doucement, comme s’il s’agissait du plus beau des joyaux, mes mains caressent chaque centimètre de sa peau. Elle frémit, et son corps se tend sous mes doigts. Ses yeux sont toujours clos et un sourire illumine son visage. N’y tenant plus, je me penche pour embrasser chaque parcelle de sa peau. Sylvie m’encourage en posant sa main dans ma chevelure. Sa respiration devient de plus en plus rapide. — Oh, Pierre, je t’en prie, continue ! Continue ; tes mains, ta langue ! Ne t’arrête pas… Ma langue s’est mise à ...
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