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Rencontre dans un train de nuit (par Barbara Katts et Le Matou libertin).
Datte: 24/12/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro
... d’une autre manière, ses seins menus pressés contre mon torse ! Oulla ! Qu’ils sont tentants, j’ai envie d’aller les caresser, moi qui suis un fan des poitrines féminines quelles qu’elles soient ! Mais comment ressentira-t-elle cet effleurement par dessus ses vêtements ? Je n’ose pas rompre le charme de la tenir entre mes bras ! Elle s’alanguit de plus en plus et elle ne se dégage pas de mon étreinte… que je resserre insensiblement jusqu’à ce que son corps aux formes si harmonieuses soit littéralement collé contre le mien ! Quelle douce étreinte, toute empreinte de sensualité retenue mais Barbara se laisse aller dans mes bras dès que d’un geste preste d’une jambe, j’ai refermé la porte du compartiment. Et là, tout bascule ! Elle glisse une main entre nos deux corps enlacés pour venir masser mon pubis où mon sexe est dressé depuis quelques minutes… Quelle douceur dans ce geste qui m’ouvre des horizons insoupçonnés. En effet, lorsque je lui ai fait une cour discrète à table, c’était plus pour flatter son ego que pour tenter de la conquérir pour une brève aventure… C’est d’ailleurs ce que je fais chaque fois que je rencontre une femme : je la félicite pour son allure, ses vêtements, son parfum… Généralement cela les flatte et je n’ai subi que très rarement des rebuffades… de la part de femmes jeunes ou moins jeunes, qui peut-être se sentaient agressées. Je n’hésite plus ! Cette caresse est une invitation à aller plus loin. J’insinue une cuisse entre les siennes pour mieux lui ...
... faire sentir le désir qui est monté en moi : aimer charnellement cette jolie femme… Je lui prends la bouche et elle ouvre ses lèvres pour laisser passer ma langue qui engage avec la sienne un duel humide qui bientôt nous laisse pantelants, à bout de souffle. Je n’en peux plus ! Elle m’affole avec son corps de sylphide, son parfum enivrant… Je glisse une main sous le sweatshirt et je vais cueillir un des seins dont je fais rouler le téton emprisonné dans la dentelle du soutien gorge. Barbara se presse encore plus contre moi. Sa respiration s’accélère. Elle rejette la tête en arrière pour que sa longue chevelure rousse tombe comme une cascade fauve entre ses épaules. Les yeux mi clos mais les lèvres entrouvertes, elle sourit et ondule du bassin contre le mien. Elle achève de me faire bander ! Si elle continue, je ne vais plus attendre et je vais la violer… MAIS NON elle n’a rien à craindre ! Je sais attendre une femme qui va se livrer… et j’ai deviné dans Barbara une femme ardente qui ne refuse pas les plaisirs du sexe ! Notre train roule maintenant dans la nuit ! Si je me souviens bien, le prochain arrêt sera Dijon. La pénombre du compartiment est simplement éclairée par des veilleuses à la couleur bleutée qui se reflètent dans la belle chevelure de Barbara. Mon assaut se poursuit à fleuret moucheté. La main qui s’était insidieusement glissée sous les sweet-shirt de Barbara est ressortie. De mes bras, j’ai emprisonné sa taille et nos bassins sont en contact en travers de nos ...