Rencontre dans un train de nuit (par Barbara Katts et Le Matou libertin).
Datte: 24/12/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... mains effleurées. J’ai aimé voir cet homme aux rides souriantes et à la mise impeccable faire le beau devant moi. Maintenant, j’en veux plus et cet énorme chibre entre mes mains sera le dessert que je n’ai pas pris à table. Je lui donne un dernier baiser, presque chaste, je me détache de son emprise, pose mes deux mains à plats sur le torse bombé et plie mes genoux jusqu’à les poser sur le sol froid de la cabine. Mes mains passant sur le boxer entrainent vers le bas le tissu satiné, libérant le cyclope obscène. Le sexe est large et l’angle qu’il forme avec le reste du corps est des plus prometteur. J’ignorais qu’on pouvait encore bander si fort à cet âge respectable. En moi-même, je pense que je dois être tombée sur une exception. J’ai plus souvent entendu des femmes se plaindre du peu de bandaison de leurs maris quinquagénaires que le contraire. J’attrape le sexe d’une main et le serre légèrement, faisant gonfler le gland rouge écarlate. De l’autre, je caresse les bourses bien rondes, guettant une réaction. Certains hommes adorent qu’on joue avec leurs roubignolles, d’autres détestent. Celui-ci à l’air d’aimer, à attendre ses soupirs d’aise. Je saisis une des boules et la presse. L’homme gémit et bande de plus belle. Même sous son boxer, cet homme sent bon : c’est incroyable, on pourrait croire qu’il avait prévu son coup ! J’approche son visage et tends une langue menue. Je lèche le sexe dressé comme je le ferais avec un cornet de glace. Les quelques poils rêches que je ...
... caresse en même temps que les testicules, toujours rasés chez les nouvelles générations, donnent ici un petit côté exotique à la chose qui me fait sourire tendis que j’émoustille le frein et la couronne du gland. Je n’ai pas encore décidé jusqu’où j’allais le laisser aller. L’homme a ses deux mains posées sur ma tête et caresse mes longs cheveux dénoués pendant que je le suce jusqu’au plus profond de ma gorge. L’excitation dans mon bas-ventre est à son comble. Il faut que je me décide : à ce rythme-là, le monsieur ne va pas pouvoir se retenir bien longtemps. Je lâche le sexe et me redresse doucement. Le regard de l’homme est intense. Il me regarde comme s’il pouvait me dévorer tout de suite, là, sur les banquettes que le personnel a mises en place pendant que nous étions à table. Pourtant Je me sens en confiance. Cet homme, bien que chaud comme la braise a de l’éducation, c’est indéniable et si je le voulais, je pourrais stopper nos ébats sur le champ sans craindre de me faire retourner et prendre comme une chienne allumeuse. C’est pourtant ce dont j’ai envie. Aussi, j’adresse un sourire plein de malice à l’homme indécis et me retourne, posant l’un après l’autre mes genoux sur la banquette. Je suis là, à quatre pattes. De là où il est, le monsieur doit avoir une sacrée vue. S’il se décidait à me lécher un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, je pourrait bien atteindre le septième ciel. Le Matou : Quelle vue splendide ! Les fesses sont barrées par la mince bande de tissu du ...