Rencontre dans un train de nuit (par Barbara Katts et Le Matou libertin).
Datte: 24/12/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... beaucoup voir deux femmes d’aimer ! Leur étreinte est pleine de douceur, d’un érotisme tout en retenue, de baisers et de caresses échangés Barbara : Hum, elle a bon goût la blonde. Elle sent le chocolat qu’elle a dû déguster pour le dessert. Comment s’appelle-t-elle déjà ? Diane je crois. Ou Anne ? Bref, on s’en fout. Elle sent bon et elle arrive à point nommé : rien de tel qu’un petit orgasme clitoridien pour couronner les assauts du gentil monsieur. Un sacré coup d’ailleurs, il m’a fait grimper au plafond en moins de temps qu’il ne faut pour le dire… Ah oui... Elle a la chatte complètement épilée, j’adore. En plus elle a des formes splendides, et ces seins ! Ronds et lourds avec des mamelons dorés comme des petits pains suédois… Les hommes doivent en raffoler. Je caresse la généreuse poitrine, pince et titille doucement les mamelons durcis par l’excitation. Je regarde Diane dans les yeux. Nous sommes complices, déjà. Comment a-t-elle trouvé leur cabine ? Mystère. Je l’imagine demander au personnel du wagon restaurant, jouant des hanches auprès d’un serveur sans défense. Nous nous embrassons longuement et tandis que nos langues s’enroulent l’une contre l’autre, Je ne peux réprimer un petit rire, réalisant soudain que l’univers du sexe s’avère bien plus amusant depuis quelques jours. Je fais glisser mes mains vers le bas, caresse le ventre, effleure le piercing et s’attarde sur le clitoris. La blonde sursaute, je souris de plus belle. Ma chatte coule à nouveau, elle est prête ...
... à recommencer. L’homme, resté debout face à elles, savoure le spectacle sans dire un mot, sans même faire mine de les toucher. Ça c’est de la première classe quand même. Pour la peine, la société des trains devrait leur offrir le billet, à elle et à sa nouvelle amie. Enfin… peine n’est pas vraiment le mot approprié. Car caresser le corps de cette femme est un vrai plaisir. Ses formes sont si pulpeuses qu’on a l’impression que même en s’y mettant à deux ou trois, on y trouverait encore quelque chose à explorer, mordre, sucer, exciter, serrer… Barbara se dégage de l’étreinte avide de sa partenaire et se penche vers l’avant en pensant : Voyons si ça sent aussi bon en bas… La blonde à son approche écarte davantage les cuisses, libérant l’effluve d’une chatte torride à souhait. J’avance mon visage et souffle doucement sur le clitoris gonflé comme un raisin sec plongé dans l’eau chaude. La blonde sursaute et sa peau sous mes mains se couvre de chair de poule. Un petit gémissement et les cuisses s’ouvrent encore. Je caresse le clitoris de ma langue, doucement. Je veux deviner ce qui plaira à la blonde : le modèle cunnilingus pelle à tarte ou l’autre, celui, délicat, qui ne touche que ce qui est électrique. Elle alterne, guettant les réactions. La blonde semble aimer le modèle pelle à tarte. Pourquoi pas. Barbara quant à elle préfère une approche plus subtile, mais il en faut pour tous les goûts et puisqu’elles sont là pour se faire plaisir… Je promène ma langue sur l’intimité lisse ...