De Papillon De Nuit à soumise (12) - Histoires de Sexe

De Papillon De Nuit à soumise (12)

... dis-je par réflexe, les yeux fuyants. Je reçus une autre gifle tout aussi cinglante que la première. — Maîtresse ? Non : c’est Mademoiselle, pour toi. Pigé, ou il faut que je te ré-explique ? m’avertit-elle en levant la main, me menaçant de m’en recoller une. — J’ai compris, Mademoiselle Amanda. — J’ai entendu parler de toi... Alors ainsi la soumise de Chloé se comporte mal ? Elle me gifla avec autant de force que la première fois. — Alors comme ça, on s’amuse à désobéir ? On déçoit sa Maîtresse ? On est une méchante chienne, hein ? On a envie de se rebeller ? On a envie de se faire remarquer ? Tu sais que c’est pas bien du tout, ça… Chacune de ses questions fut ponctuée d’une gifle toujours aussi intense. Mes joues me faisaient mal. — On a envie d’une bonne petite correction, n’est-ce pas ? me dit-elle calmement tout en me détachant les poignets. Fous-toi à genoux et ouvre grand ta gueule ! J’obtempérai en tremblant. Son ton autoritaire me faisait peur ; elle avait l’air jeune, mais pourtant elle savait se faire obéir. Elle enleva alors son jean qu’elle posa à terre, et je remarquai qu’elle n’avait rien en dessous. — Désormais, tu n’ouvriras ta petite gueule que lorsque tu y seras autorisée. Je vais te faire un petit cadeau et je te déconseille de tenter quoi que ce soit. Pigé, sale catin ? — Oui, Mademoiselle Amanda. Elle s’avança vers moi, agrippa mes cheveux et plaqua sa chatte contre ma bouche. Pensant qu’elle voulait un cunnilingus, ma langue commença à s’affairer ...

... lorsqu’un jet chaud, de puissance modérée et au goût répugnant m’envahit : elle se soulageait la vessie dans un râle de satisfaction. Je tentai de me dégager mais elle avait bien plus de force que moi. — Oh, putain, quel pied, c’est encore mieux que des chiottes ! Allez, bois ma pisse, sale pute ! Elle est bonne, hein ? Surtout n’en perds pas une goutte, et arrête de te débattre sinon je me fâche ! Sous peine d’aggraver mon cas, je fus contrainte d’avaler ce liquide nauséabond qui avait un arrière-goût d’expresso. Mon visage se crispa de dégoût et les larmes coulèrent le long de mes joues pendant que je faisais de mon mieux pour boire ce breuvage immonde. Lorsqu’elle eut terminé, elle se rhabilla, mais mon ventre me brûlait atrocement. J’éclatai alors en sanglots. Je me sentais affreusement nauséeuse. Encore un peu et je me serais mise à vomir. — Non mais, tu vas arrêter ta comédie ou je te garantis que tu vas chialer pour quelque chose ! Et puis d’abord, qu’est-ce qu’on dit ? — M... Merci, Mademoiselle Amanda, bégayai-je. — C’est bien : je vois que Louna et Chloé t’ont appris certaines règles. La prochaine fois que tu désobéis, c’est mon cul que je vide dans ta bouche. Ma condition de chienne soumise devenait un véritable cauchemar, et je savais que boire la pisse de cette garce n’était qu’un prélude à tout ce qui m’attendait, surtout si Louna était aux commandes. D’ailleurs elle fit son retour, armée de deux cravaches et de pinces à linge. Elle en tendit une à Amanda qui s’en ...