1. De Papillon De Nuit à soumise (12)


    Datte: 24/12/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... saisit avec une lueur malsaine dans le regard. Je dus faire un effort incroyable pour m’arrêter de pleurer. Toutes deux me rattachèrent solidement à la croix, et rapidement les coups de cravache mirent à pleuvoir, de plus en plus violents, mais ils s’arrêtèrent tout aussi rapidement. Louna me fit lever la tête du bout de son index. — Tu sais pourquoi tu es là ? — Oui, Maîtresse Louna. C’est parce que j’ai enfreint une règle, et je vous jure que je le regrette, je suis sincère. — Oh non, tu ne regrettes pas : tu veux simplement que je m’arrête, n’est-ce pas ? De violents coups s’abattirent à nouveau sur moi sous les rires moqueurs d’Amanda. Je commençais à ne plus en pouvoir ; mon ventre brûlait, aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur, mon corps était meurtri par les marques de coups. J’avais beau supplier, implorer, me tordre de douleur, crier, grimacer, rien ne les arrêtait. Il avait suffi de trois mots malheureux pour que je me retrouve dans cette situation, et pour la première fois je le regrettais amèrement. Je regrettais ma vie de voleuse. Une vie risquée, certes, mais mon destin avait été scellé dès que j’avais foutu les pieds dans cette maison. Ma mentor avait tout fait pour me dissuader d’y aller seule car elle ne sentait pas cette mission, mais j’ai rien voulu entendre. Lorsque les coups s’arrêtèrent enfin, je m’écroulai, ne tenant debout que grâce à mes liens. J’implorais interieurement qu’elle vienne m’aider ; mais personne ne viendrait jamais, il fallait se ...
    ... faire une raison. ofnovvdm — Dis donc, c’est pas le moment de pioncer ! ricana Amanda. — Attends, on va la réveiller, c’est moi qui te le dis, déclara sa complice. Je sentis alors un fort pincement sur mon clito, suivi d’une douleur atroce qui a augmenté lorsqu’Amanda a placé une pince à linge sur mes lèvres intimes. Tous mes muscles se crispèrent. Je tremblais de tout mon corps ; je ne méritais pas un tel supplice… C’était trop irréel, car cette fois je ne mouillais pas, je n’éprouvais pas une once de plaisir à ce traitement qu’on m’infligeait injustement. Je ne sais pas combien de temps cette punition délirante dura, mais c’est ma Maîtresse qui y mit fin en me délivrant de ces harpies. Je tombai à genoux aux pieds de ma Maîtresse, avec des larmes de gratitude pour avoir mis fin à cette torture. — Pardon, Maîtresse Chloé… Je vous en supplie, pardonnez-moi, la suppliai-je en éclatant en sanglots. — La prochaine fois que tu désobéiras à mes ordres, je te garantis que ce que tu viens de subir n’aura été qu’une gentille promenade de santé en comparaison de tout ce que je te ferai ! C’est compris ? — Oui, Maîtresse Chloé, je vous obéirai pour toujours, je vous le jure ! dis-je en tremblant de terreur. — Debout ! m’ordonna-t-elle en me tirant par les cheveux. J’obéis sans attendre, malgré la douleur ressentie par mon corps ravagé des coups qu’il avait reçus. — Va dans ta chambre pour te laver, manger et te reposer. Ensuite, je te donnerai des consignes bien particulières que je te ...