1. Sissy conte de fée (part 1)


    Datte: 23/10/2017, Catégories: Anal Gay Transexuels

    ... pièce, sous le rire de son frère, qui ensuite but une bonne rasade du pichet.– L’est bizarre ce vin ! Pas mauvais, il a du corps, mais bizarre… Allez encore un coup pour la route !Il vida le pichet, avant de faire quelques pas, et de s’écrouler sur le sol, ivre-mort. La servant se redressa alors, remis ses jupes en place, et cracha sur le prince endormis avant de quitter la pièce elle aussi…* **Les deux-trois jours suivants, la princesse réussit encore à donner quatre doses du mystérieux produit dans l’assiette ou dans les pichets de son frère, sans que celui ne remarque rien. On ne constatait aucun changement, sauf qu’il devenait un peu plus nerveux, et qu’il courait encore plus derrière les fesses des servantes que d’habitude.Heureusement, elles avaient reçu la consigne de la princesse Bérénice d’éviter son frère, leur promettant protection si elle devait pour cela même désobéir au prince.Ce jour-là, Bérénice était avec le Grand Sénéchal et un des capitaines de l’armée, discutant dans la salle des offices. Le prince fit irruption dans la pièce, passablement énervé.– Bérénice ! Salope ! Sale truie ! Est-ce à cause de toi que les servantes me fuient ? Je ne vois que des pages pour me servir, j’en ai assez ! Si ça continue, si tu ne leur dis pas de changer, je viole un page, je te le jure !Le page derrière lui pâlit, et se recula imperceptiblement… Cet énervement et cette excitation n’étaient pas naturels chez le prince, Bérénice comprit que c’était l’étrange produit qui ...
    ... agissait. Elle devait suivre le reste des instructions du parchemin, maintenant…– Doucement mon frère. Tu ne vas pas beugler ici pour tes affaires de cul… j’ai de quoi te distraire, une bande d’orcs en maraude, qui se sont avancés fort loin des montagnes, ils menaceraient même un de nos villages. Tuer des orcs, ça te calmera peut-être les sangs…– Des orcs, où ?Le capitaine parla.– Au nord-ouest mon prince, dans une forêt près des montagnes, près d’un lieu-dit « l’arbre aux morts ». C’est à deux journées d’ici.Ce qu’aucun des hommes ne savaient c’est que c’était Bérénice elle-même qui avait joint ce rapport aux autres, espérant bien trouver un moyen de donner cette mission à son frère, ce qui était chose faite !– Bien, bien, un peu d’action me calmera. Je vais chercher ma lance et mon épée, Capitaine, réunit une douzaine de cavaliers, nous partons immédiatement !– Mon prince… une douzaine seulement ? Nous pourrions prendre plus d’hommes au cas où…– Ne discute pas mes ordres ! J’ai dit une douzaine… les orcs, je m’en fais quatre ou cinq à moi tout seul alors… Et au retour nous irons culbuter des bergères au pied des montagnes…Et il sortit de la pièce d’une façon aussi fracassante qu’il y était entré, laissant le capitaine interloqué… Le Sénéchal se tourna vers la princesse, qui en général allait contre les directives de son frère, pour qu’elle mette plus d’hommes sur l’affaire, mais elle ne dit rien. L’air pensive, elle contemplait un petit parchemin froissé…* **Ils chevauchèrent ...
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