1. Sissy conte de fée (part 1)


    Datte: 23/10/2017, Catégories: Anal Gay Transexuels

    ... toute la journée, le prince ne desserrait pas les dents, furieux. Sa sœur était la seule femme qu’il désirait vraiment. Pour qui il aurait fait n’importe quoi. Mais voir ses regards plein de dédain, pire même, ses regards plein de dégout qu’elle posait sur lui le rendait furieux. Alors il buvait, il troussait les servantes, il la décevait comme il pouvait. Par vengeance.Les grandes plaines remplies de champs et de fermes laissèrent petit à petit place à des collines, de plus en plus boisée. La nuit tombante, ils établirent un camp sommaire et dormirent en chemin. Le prince, comme ses soldats, prenait un tour de garde. Il dormait avec ses hommes, vivait avec et comme ses hommes, ils le respectaient pour ça. Le lendemain ils repartirent d’un bon train. Train qui se ralentit au fur et à mesure que les bois devenaient plus touffus, devenant de vraies forêts, forêts qui s’étalaient jusqu’aux contreforts montagneux.– Ces orcs ne valent pas mieux que des animaux, mais restons tout de même à portée de vue les uns des autres, au cas où ils nous tendraient un piège…Le groupe de cavaliers avançait lentement dans les bois… soudain, un des hommes fit un signe aux autres de s’arrêter… une fumée s’élevait plus loin, sur la gauche, il devait y avoir un feu. Ces orcs, quels abrutis, ils ne se cachaient même pas ! Le prince montra la direction, et les cavaliers le suivirent. Ils débouchèrent dans une large clairière… face à eux, de l’autre côté de la clairière, à moitié dans les sous-bois, ...
    ... les attendaient une troupe d’orcs, il y en avait au moins une cinquantaine… le prince jura… le capitaine le regarda avec un mélange de colère et de crainte… il y avait longtemps qu’on avait plus vu autant d’orcs ensemble, en général ils formaient des bandes d’une quinzaine d’individus, maximum une vingtaine… mais une si grosse troupe, il n’y en avait plus eu depuis la guerre ! Le prince s’en voulut de son orgueil, de ne pas avoir pris plus d’homme avec lui… mais pas question de fuir, les humains n’avaient plus fuit devant les orcs depuis des décennies !– Ils sont nombreux, mais nous sommes à cheval. Ne chargeons pas maintenant, ils sont trop dans les bois, ce qui annule l’avantage de la cavalerie, mais dès qu’ils courront vers nous, et seront à découvert, nous chargerons, et ferons le maximum de dégâts dans leur rang, compris ?Les soldats hochèrent la tête, pas vraiment convaincus. Certains serrèrent leur lance plus fort, pour se donner plus de courage…Soudain, une forme émergea des bois, en face. De petite taille, un long mantel noir à capuchon le recouvrait, empêchant de le voir, de voir son visage ni ses vêtements. Une main gantée de cuir tenait un bâton de pèlerin, et ses bottes de voyages, en cuir, semblaient fort usées… Il regarda les cavaliers, face à lui.– Bienvenus messieurs… n’est-ce pas là une trop belle journée que pour verser du sang ? Si nous combattons, il y aura beaucoup de pertes chez nous, mais vu notre nombre aucun d’entre vous n’en rechapera vivant…Il avait ...
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