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Indigne mère
Datte: 01/01/2021, Catégories: Anal Mature, Première fois
... présent car souvent sur les routes. Il nous laissait trop de loisir. Ma mère outre le ménage, s'occupait de sorties avec des amies, de séances à la salle de gym voire de parties épiques dans son club de bridge. Le reste de l'été elle écumait principalement le bord de sa piscine. Mes frères et sœurs durant les vacances semblaient enfuis chez les proches et amis. Il me laissait seul avec ma mère. Voué à l'ennui et exécrant sa piscine, celle-ci me déposait alors chez mon cousin à l'autre bout de la ville.J'y étais mieux. C'était une famille joyeuse. Tout l'envers de la mienne. Il ne m'effleura jamais que j’abandonnais ma mère en cette grande maison où la piscine était sa seule consolation. Ma tante qui détestait ma mère proclamait qu'elle encourait un cancer à force de faire brûler sa peau. Le soleil n'avait rein de bon pour des peaux blanches. Elle trouvait inconsidérée cette manie de vouloir rester jeune et belle. Obsession narcissique de son apparence. A cinquante ans il était pathétique ajoutait-elle de vouloir rivaliser avec de plus jeunes. Elle me taisait le reste.Sachant l'animosité de ma tante et assez renseigné des jalousies des femmes, je n'y prêtais guère attention. Puis vint ce jour funeste où ma tante et mon oncle me ramenèrent d'urgence. Ils devaient accourir à un hôpital pour un de leurs proches. Ils me laissèrent vers quinze heures devant ma maison. Nous n’avions prévenu ma mère de ce retour impromptu. J'avais précédé celui-ci de deux heures. De toute façon ...
... sachant ma mère à la piscine, je préférais aller tout droit dans ma chambre et ne point la déranger dans sa sieste ou son bronzage. Ainsi avançais-je à pas lents.Je passais un instant dans la pénombre du salon. La grande baie vitrée de celui-ci donnait sur la verdure du jardin et le morceau bleu de la piscine. Pour tout bruit ambiant il y avait celui du dispositif d'arrosage et la musique lointaine d'une radio. Je sursautais car il y avait en fond du jardin la carcasse énorme du voisin. Un nommé Azoulay que je n'aimais pas. Je ne suis pas sûre que papa eût aimé sa visite en son absence. Que foutait maman avec lui ? L 'un l'autre riaient. Soudain en une grande éclaboussure, ledit Azoulay piquât une tête dans l'eau. Je me glissais dans ma chambre.Celle-ci surplombait parfaitement le jardin. Piqué par la curiosité et mu d'un funeste pressentiment j'espionnais ces deux-là. D’abord surprise : ma mère s'était maintenue en tenue d'Eve devant notre voisin. Nulle pudeur affichée. Pourtant lorsque je la surprenais ainsi, enfilait-elle aussitôt son peignoir. Mutine, elle me moquait alors : « Je ne veux pas te donner de mauvaises idées, chéri. » Des tâches dans le drap lui avait témoigné qu'à seize ans déjà je m'astiquais dans le noir. Elle me reprochait de ne m'être pas trouvé déjà une copine. Bref elle se faisait du souci pour ma sexualité.Le vrai est que _ et elle le savait _ j'étais obsédé par son corps et que je l'admirais de loin en me branlant. Je soupçonne qu’elle le devinât et à ...