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Indigne mère
Datte: 01/01/2021, Catégories: Anal Mature, Première fois
... dessein se mettait à poil. Un jour je lui fis observer qu'à cent mètres de notre maison, surplombait un immeuble où on la pouvait voir avec une bonne paire de jumelle. Goguenarde, elle dit : « Et alors ? » ; Bref nous jouions un jeu étrange. Découvrant Azoulay je pensais davantage à une trahison à mon égard qu'à celle de mon père. Ce gars était un porc. J’avais perçu souvent son regard libidineux sur une femme.Ma mère ne pouvait ne pas savoir cela. Ce type était vicieux, cochon notoire. Ce jour-là je me calais en un coin pour mieux scruter et appréhendais ce qui allait arriver nécessairement . Azoulay peu après son bain s'était allongé auprès d’elle sur la serviette. Je perçus une vraie familiarité entre eux. Ce ne devait pas être la première fois qu'ils bronzaient ensemble. Puis je vis distinctement la main de celui-ci parcourir le corps de ma mère. Ce fut d'abord les seins, puis le ventre et enfin le sexe. Il fut bientôt sur elle à l'embrasser. Elle, telle une statue semblait se laisser faire.Juché sur une chaise, j'eus chu alors. J'étais bouleversé. Azoulay le maudit voisin était donc de ses amants. Je fermais les yeux et mordis de rage ma couverture. Quand je les rouvris, la chevelure blonde de ma mère était sur le ventre gros et ignoble de cet homme. Comment pouvait-elle faire cela avec un singe si poilu ? En effet elle le suçait. Je n’avais vu faire cela que dans des films porno visionnés avec un copain. J'étais fasciné et tout abasourdi. Cela dura longtemps. Ma mère ...
... était appliquée à la tâche. On eût dit l'opération innocente d'une mère au zèle de son ménage.Azoulay avait la bouche ouverte, l’œil fermé près de défaillir. Puis revenu soudain à lui, il la repoussa brusquement et s'enfouit entre ses cuisses toutes écartées. Là non plus je n'avais vu de coït que dans mes fameux films. Il la besognait, position missionnaire comme je sus après. Tendant un peu l’oreille par la fenêtre ouverte, je distinguais peu à peu leurs râles dont celui de ma mère que j'entendis pour la première fois gémir de la sorte. Je pris peu après conscience de ce péché réalisé devant moi et j'en étais le témoin vicieux et privilégié.Je m'étais glissé sous le drap. Une érection coupable m'était venue que je pouvais réprimer qu'à force de me branler. Je sombrais dans un vague sommeil. Lorsque je repris mes esprits je vis ma mère toujours nue mais seule à présent. Azoulay s'était évanoui. Avais-je fait un rêve ? Je fus partagé un temps. Je dus m'en remettre à la raison. Je n'avais point rêvé. Ma mère avait forniqué avec un voisin. J'étais stupéfait cependant de son flegme présent. Elle somnolait telle une sainte. Je descendis doucement, sortis et sonnant affectais de rentrer de chez de chez la tante.Ce soir-là, elle me trouva un regard curieux. Je craignis surtout que la tante ne l'informa de mon retour prématuré. Elle eût deviné alors que je l'avais vu avec Azoulay en compagnie. Peu de jours après j'inventais un tournoi de tennis où devait me mener un copain et son père. ...